C’est l’association californienne Elephant Action League (EAL) qui est à l’origine du projet WildLeaks. Avec cette plateforme, dont la référence à WikiLEaks est complètement assumée, les militants espèrent mettre en place un nouvel outil pour dénoncer et poursuivre en justice les personnes qui commettent des délits en rapport avec l’environnement et les animaux.
Le principal argument des initiateurs de ce projet repose sur le sentiment d’impunité qui demeure dans le domaine de la protection de la faune et de la flore. De leur point de vue, cette situation démontre qu’il manque encore d’outils efficaces dans cette lutte. « Les crimes contre la faune sauvage sont très souvent inaperçus, contestés, et les personnes n'en parlent pas. Avec cette plateforme, les témoins civils de ces crimes peuvent jouer un rôle crucial dans la lutte, sensibiliser et soutenir la justice » explique Andrea Crosta, fondateur de WildLeaks cité par le site bioalaune.com.
Le principal argument des initiateurs de ce projet repose sur le sentiment d’impunité qui demeure dans le domaine de la protection de la faune et de la flore. De leur point de vue, cette situation démontre qu’il manque encore d’outils efficaces dans cette lutte. « Les crimes contre la faune sauvage sont très souvent inaperçus, contestés, et les personnes n'en parlent pas. Avec cette plateforme, les témoins civils de ces crimes peuvent jouer un rôle crucial dans la lutte, sensibiliser et soutenir la justice » explique Andrea Crosta, fondateur de WildLeaks cité par le site bioalaune.com.
Pas de succès sans engouement
Pour être véritablement efficace, cette plateforme doit bénéficier d’un large soutien du public avec un engagement actif des personnes. Contrairement au WikiLeaks qui a été le travail surtout d’un seul homme avec la publication d’informations compromettantes, ce sont les militants qui sont appelés à dénicher des faits incriminants. Des avocats, journalistes, spécialistes et militants doivent ensuite se charger de vérifier les faits et de déterminer s’il existe des recours judiciaires possibles.
À ce sujet, le fondateur affirme que la dynamique est bonne. Depuis le lancement du site, une trentaine d’alertes pourraient faire l’objet de poursuites devant la justice. D’après le site bioalaune.com, il s’agirait d’affaires liées à la déforestation ou le trafic illégal d’animaux.
La plateforme veut aussi jouer un rôle de sensibilisation et de responsabilisation des personnes. En les faisant participer comme activistes à des luttes environnementales elle espèrent aussi affûter l’esprit critique et d’analyse des consommateurs : « Derrière un simple bibelot en ivoire en vente à Shanghai ou à Hong Kong, une personne se fait tuer en Afrique, une épouse perd son mari, un enfant devient orphelin ou soldat » explique le site.
À ce sujet, le fondateur affirme que la dynamique est bonne. Depuis le lancement du site, une trentaine d’alertes pourraient faire l’objet de poursuites devant la justice. D’après le site bioalaune.com, il s’agirait d’affaires liées à la déforestation ou le trafic illégal d’animaux.
La plateforme veut aussi jouer un rôle de sensibilisation et de responsabilisation des personnes. En les faisant participer comme activistes à des luttes environnementales elle espèrent aussi affûter l’esprit critique et d’analyse des consommateurs : « Derrière un simple bibelot en ivoire en vente à Shanghai ou à Hong Kong, une personne se fait tuer en Afrique, une épouse perd son mari, un enfant devient orphelin ou soldat » explique le site.