L’université francilienne des entreprises organisé par la CPME le 29 juin était tournée vers la RSE. Les chefs d’entreprises ont rencontré des spécialistes de la responsabilité sociale pour faire un point sur l’engagement des entreprises de taille moyenne. Le principal constat de ces échanges est la diversité d’approches mais aussi de compréhension du concept selon les sociétés.
La rencontre aurait mérité de faire plus de bruit, ne serait-ce que parce que les petites et moyennes entreprises sont l’enjeu majeur de l’évolution de la RSE. C’est ce qui ressort de la prise de parole du président de l’éco-organisme Valdélia, Arnaud Hmbert-Droz, telle que le site Netpme.fr le rapporte : « Le principal objectif du chef d’entreprise lorsqu’il définit sa politique RSE est de « faire en sorte que tous les employés aient envie de s’engager dans le projet et de collaborer » conseille le président de Valdélia. Mais toutes les PME françaises n’ont et ne connaissent pas les mêmes difficultés à sensibiliser leurs salariés, notamment en fonction de leur localité. »
Il est intéressant de remarquer que l’engagement de l’entreprise est devenu quasiment un lieu-commun et que la politique RSE est un sujet central. En parallèle de cette observation, le site spécialiste des questions des PME, note que beaucoup d’entreprises ont mis en place des pratiques sans savoir qu’elles entraient dans ce giron. « Une bonne nouvelle touche malgré tout la RSE sociétale : selon Dominique du Paty de Clam, fondatrice d’Handireseau, société qui favorise la politique du handicap au sein des entreprises, « beaucoup de PME pratiquent la RSE sans même le savoir ». En effet, un diagnostic mené par la CPME sur les TPE-PME franciliennes dévoile que beaucoup d’entreprises emploient des personnes handicapées et ne pensent pas que cela soit inclus dans la RSE » rapporte l’article.
La rencontre aurait mérité de faire plus de bruit, ne serait-ce que parce que les petites et moyennes entreprises sont l’enjeu majeur de l’évolution de la RSE. C’est ce qui ressort de la prise de parole du président de l’éco-organisme Valdélia, Arnaud Hmbert-Droz, telle que le site Netpme.fr le rapporte : « Le principal objectif du chef d’entreprise lorsqu’il définit sa politique RSE est de « faire en sorte que tous les employés aient envie de s’engager dans le projet et de collaborer » conseille le président de Valdélia. Mais toutes les PME françaises n’ont et ne connaissent pas les mêmes difficultés à sensibiliser leurs salariés, notamment en fonction de leur localité. »
Il est intéressant de remarquer que l’engagement de l’entreprise est devenu quasiment un lieu-commun et que la politique RSE est un sujet central. En parallèle de cette observation, le site spécialiste des questions des PME, note que beaucoup d’entreprises ont mis en place des pratiques sans savoir qu’elles entraient dans ce giron. « Une bonne nouvelle touche malgré tout la RSE sociétale : selon Dominique du Paty de Clam, fondatrice d’Handireseau, société qui favorise la politique du handicap au sein des entreprises, « beaucoup de PME pratiquent la RSE sans même le savoir ». En effet, un diagnostic mené par la CPME sur les TPE-PME franciliennes dévoile que beaucoup d’entreprises emploient des personnes handicapées et ne pensent pas que cela soit inclus dans la RSE » rapporte l’article.