Il est grand temps de faire évoluer les mentalités autour des quotas de personnes handicapées dans l’entreprise. Plus qu’une obligation, c’est une démarche positive à laquelle toutes les entreprises doivent se plier de bon grès, c’est aussi dans leur intérêt.
Dans un article dédié au sujet, Le Parisien montre très bien comment les embauches de personnes handicapées est une valeur ajoutée qui porte très rapidement des fruits. En détaillant la politique de quelques grands groupes très engagé dans le domaine, l’article montre qu’il ne s’agit pas uniquement d’une démarche solidaire « c'est aussi une opportunité pour créer de nouvelles dynamiques de solidarité au sein de l'entreprise, notamment dans les grands groupes. Même s'il n'est pas toujours facile d'atteindre la barre fatidique des 6%, il existe de nombreux moyens pour contribuer socialement à l'insertion des personnes handicapées. Par exemple, en employant les services des entreprises adaptées (EA) ou les établissements et services d'aide par le travail (Esat). »
Dans un article dédié au sujet, Le Parisien montre très bien comment les embauches de personnes handicapées est une valeur ajoutée qui porte très rapidement des fruits. En détaillant la politique de quelques grands groupes très engagé dans le domaine, l’article montre qu’il ne s’agit pas uniquement d’une démarche solidaire « c'est aussi une opportunité pour créer de nouvelles dynamiques de solidarité au sein de l'entreprise, notamment dans les grands groupes. Même s'il n'est pas toujours facile d'atteindre la barre fatidique des 6%, il existe de nombreux moyens pour contribuer socialement à l'insertion des personnes handicapées. Par exemple, en employant les services des entreprises adaptées (EA) ou les établissements et services d'aide par le travail (Esat). »
Engagement collectif
Interrogé par le quotidien, Gilles Lefranc, le responsable insertion du groupe Thalès explique ainsi que « il est tout aussi essentiel de renforcer la cohésion dans le groupe en menant des actions de sensibilisation auprès de l'ensemble des collaborateurs. Ceci à tous les niveaux et pour faire que chacun d'eux, dans son emploi, soit acteur de la politique handicap du groupe. »
En effet, la démarche n’a de sens que si elle est expliquée aux collaborateurs qui sont invités à participer à cet engagement. En plus de les impliquer dans une politique collective, l’aspect humain d’aide à l’intégration est évidemment positif pour la cohésion. « Nous avons beaucoup de cas où le salarié handicapé a été pris sous l'aile d'un de ses collègues ou de son manageur » confirme au Parisien Alain Lorgeoux, responsable RSE de Safran.
Lire en intégralité l’article du journal Le Parisien
En effet, la démarche n’a de sens que si elle est expliquée aux collaborateurs qui sont invités à participer à cet engagement. En plus de les impliquer dans une politique collective, l’aspect humain d’aide à l’intégration est évidemment positif pour la cohésion. « Nous avons beaucoup de cas où le salarié handicapé a été pris sous l'aile d'un de ses collègues ou de son manageur » confirme au Parisien Alain Lorgeoux, responsable RSE de Safran.
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