Plus de cinq cents morts et le compteur continue à augmenter. A 4h17 du matin, lundi 6 février, un séisme de magnitude 7,8 sur l’échelle de Richter a frappé le Sud de la Turquie et fait des morts jusqu’au Nord de la Syrie. Des centaines de morts ont déjà été comptabilisées. « D’après l’institut sismologique américain USGS, le tremblement de terre a eu lieu à 4 h 17 (2 h 17, heure de Paris), à une profondeur d’environ 17,9 kilomètres. Selon l’AFAD, le séisme était d’une magnitude de 7,4, et d’une profondeur de 7 kilomètres. L’épicentre se situe dans le district de Pazarcik, dans la province turque de Kahramanmaras, à 60 kilomètres environ à vol d’oiseau de la frontière syrienne. Cinquante répliques ont été enregistrées en Turquie, selon l’AFAD. Les secousses ont également été ressenties au Liban et à Chypre, selon des correspondants de l’Agence France-Presse (AFP).
Il faut remonter au 17 aout 1999 et au terrible tremblement de terre qui avait tué environ 17 000 personnes pour retrouver une catastrophe naturelle de cette ampleur en Turquie. « Des bâtiments ont été détruits dans de nombreuses villes du sud-est du pays, selon les images diffusées par les médias turcs. Sur Twitter, des internautes partageaient l’identité et la localisation de personnes prises au piège sous les décombres dans plusieurs villes du sud-est du pays. Le maire de la ville d’Adana, Zeydan Karalar, a déclaré que deux immeubles de dix-sept étages et de quatorze étages avaient été détruits, selon la chaîne TRT » relève l’AFP.
Les autorités turques ont immédiatement fait appel à la générosité internationale et aux soutiens d’autres pays dès lundi matin. Pour l’heure la France a témoigné de sa générosité mais pas détaillé d’éventuelles aides des forces d’intervention : « Après le terrible séisme qui vient de frapper la Turquie et fait tant de victimes, j’ai fait part à mon homologue turc, Mevlüt Çavusoglu, de nos sincères condoléances, à son pays et au peuple turc, aux côtés duquel se tient la France », a déclaré la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna.
Il faut remonter au 17 aout 1999 et au terrible tremblement de terre qui avait tué environ 17 000 personnes pour retrouver une catastrophe naturelle de cette ampleur en Turquie. « Des bâtiments ont été détruits dans de nombreuses villes du sud-est du pays, selon les images diffusées par les médias turcs. Sur Twitter, des internautes partageaient l’identité et la localisation de personnes prises au piège sous les décombres dans plusieurs villes du sud-est du pays. Le maire de la ville d’Adana, Zeydan Karalar, a déclaré que deux immeubles de dix-sept étages et de quatorze étages avaient été détruits, selon la chaîne TRT » relève l’AFP.
Les autorités turques ont immédiatement fait appel à la générosité internationale et aux soutiens d’autres pays dès lundi matin. Pour l’heure la France a témoigné de sa générosité mais pas détaillé d’éventuelles aides des forces d’intervention : « Après le terrible séisme qui vient de frapper la Turquie et fait tant de victimes, j’ai fait part à mon homologue turc, Mevlüt Çavusoglu, de nos sincères condoléances, à son pays et au peuple turc, aux côtés duquel se tient la France », a déclaré la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna.