L’époque où les responsabilités étaient concentrées entre les mains d’un seul homme est révolue. Désormais, un conseil opérationnel va chapeauter l’alliance. Et si cette nouvelle structure sera bien dirigée par Jean-Dominique Senard, celui-ci aura moins de poids dans sociétés japonaises. « Jean-Dominique Senard agira en qualité de Président de ce nouveau Conseil opérationnel de l’Alliance, auquel siègeront également les CEO de Renault, Nissan et Mitsubishi Motors. Le nouveau Conseil opérationnel de l’Alliance sera chargé de la coordination opérationnelle entre Renault, Nissan et Mitsubishi et prendra de nouvelles initiatives de nature à créer de la valeur pour leurs actionnaires et salariés respectifs » explique le communiqué de l’alliance.
C’est une des leçons principales de l’affaire Ghosn. En dehors du cas personnel de l’ancien patron et de ce que la justice japonaise décidera, la vulnérabilité d’un management stratégique basé sur une seule personne est évidente. Du côté japonais, le ressentiment et l’impression de perdre petit à petit le contrôle de leurs propres structures a été très mal vécu. « Le nouveau Conseil de l’Alliance sera le seul organe de supervision des opérations et de la gouvernance de l’Alliance entre Renault, Nissan et Mitsubishi, en lieu et place de RNBV et NMBV. A cet effet, il sera le visage et le premier pilote du « Nouveau Départ » de l’Alliance. Pour poser les fondations des futurs développements de l’Alliance, le nouveau conseil réunira le président de Renault, également président de ce conseil, et les CEO de Nissan, Mitsubishi Motors et Renault. Les décisions opérationnelles prises par le Conseil de l’Alliance seront fondées sur le consensus, renforçant la logique « gagnant-gagnant » de l’Alliance » continue le texte.
Avec des réunions tous les mois à Paris ou Tokyo, le nouveau conseil est présenté comme un nouveau départ. « La création du nouveau conseil opérationnel de l’Alliance a pour objectif d’aider Nissan, Renault et Mitsubishi à exprimer leur plein potentiel et à être ensemble le leader d’un marché automobile mondial hautement compétitif et en évolution accélérée » souligne le communiqué.
C’est une des leçons principales de l’affaire Ghosn. En dehors du cas personnel de l’ancien patron et de ce que la justice japonaise décidera, la vulnérabilité d’un management stratégique basé sur une seule personne est évidente. Du côté japonais, le ressentiment et l’impression de perdre petit à petit le contrôle de leurs propres structures a été très mal vécu. « Le nouveau Conseil de l’Alliance sera le seul organe de supervision des opérations et de la gouvernance de l’Alliance entre Renault, Nissan et Mitsubishi, en lieu et place de RNBV et NMBV. A cet effet, il sera le visage et le premier pilote du « Nouveau Départ » de l’Alliance. Pour poser les fondations des futurs développements de l’Alliance, le nouveau conseil réunira le président de Renault, également président de ce conseil, et les CEO de Nissan, Mitsubishi Motors et Renault. Les décisions opérationnelles prises par le Conseil de l’Alliance seront fondées sur le consensus, renforçant la logique « gagnant-gagnant » de l’Alliance » continue le texte.
Avec des réunions tous les mois à Paris ou Tokyo, le nouveau conseil est présenté comme un nouveau départ. « La création du nouveau conseil opérationnel de l’Alliance a pour objectif d’aider Nissan, Renault et Mitsubishi à exprimer leur plein potentiel et à être ensemble le leader d’un marché automobile mondial hautement compétitif et en évolution accélérée » souligne le communiqué.