La semaine de la mobilité est après l’été, mais il faut mobiliser dès maintenant. Le communiqué du ministère de la Transition écologique et solidaire est clairement articulé dans ce sens. « Organisée chaque année du 16 au 22 septembre, la Semaine européenne de la mobilité (SEM) a pour objectif d'inciter les citoyens et les collectivités dans de nombreux pays européens à opter pour des modes de déplacements plus respectueux de l'environnement. Pour l'édition 2018, elle met l'accent sur la multimodalité avec le thème « Mix and Move » » commence le texte.
Alors que l’été est déjà là et que les collectivités vont fonctionner au ralenti, le ministère cherche à fédérer autour de cette semaine qui a avant tout pour objectif la sensibilisation et les expériences grandeur nature. « Donner la possibilité aux villes d'expérimenter des alternatives de transport durable et encourager les citadins à choisir des modes de transport comme la marche et le vélo... c'est tout l'enjeu de la Semaine européenne de la mobilité. Plus largement, cette démarche vise à réduire les émissions de carbone, améliorer la qualité de l'air et rendre les zones urbaines plus agréables à vivre » précise le texte.
L’idée est donc de susciter l’intérêt d’un maximum d’acteurs différents pour faire mieux que les années précédentes. L’an passé 2 500 villes européennes avaient participé. « Depuis quelques années, la Semaine européenne de la mobilité (SEM) a franchi les frontières européennes. Elle repose sur un appel à projets, Europeanmobilityweek, lancé en 2002 par la Commission européenne à destination des collectivités pour leur permettre de valoriser des initiatives et solutions de transport alternatives à la voiture individuelle : développement de modes de transport durables, aménagement de plans de déplacements doux » lit-on plus loin. Concrètement les villes sont invitées à s’engager autour de trois critères, sachant qu’il faut mettre en place les trois pour être éligible aux prix de la Semaine européenne de la mobilité : « organiser une semaine d'actions consacrée à la mobilité durable selon le thème, lancer et promouvoir durant la semaine une action pérenne consacrée à la mobilité durable, organiser une journée sans voiture. »
Alors que l’été est déjà là et que les collectivités vont fonctionner au ralenti, le ministère cherche à fédérer autour de cette semaine qui a avant tout pour objectif la sensibilisation et les expériences grandeur nature. « Donner la possibilité aux villes d'expérimenter des alternatives de transport durable et encourager les citadins à choisir des modes de transport comme la marche et le vélo... c'est tout l'enjeu de la Semaine européenne de la mobilité. Plus largement, cette démarche vise à réduire les émissions de carbone, améliorer la qualité de l'air et rendre les zones urbaines plus agréables à vivre » précise le texte.
L’idée est donc de susciter l’intérêt d’un maximum d’acteurs différents pour faire mieux que les années précédentes. L’an passé 2 500 villes européennes avaient participé. « Depuis quelques années, la Semaine européenne de la mobilité (SEM) a franchi les frontières européennes. Elle repose sur un appel à projets, Europeanmobilityweek, lancé en 2002 par la Commission européenne à destination des collectivités pour leur permettre de valoriser des initiatives et solutions de transport alternatives à la voiture individuelle : développement de modes de transport durables, aménagement de plans de déplacements doux » lit-on plus loin. Concrètement les villes sont invitées à s’engager autour de trois critères, sachant qu’il faut mettre en place les trois pour être éligible aux prix de la Semaine européenne de la mobilité : « organiser une semaine d'actions consacrée à la mobilité durable selon le thème, lancer et promouvoir durant la semaine une action pérenne consacrée à la mobilité durable, organiser une journée sans voiture. »