Le rapport à la publicité a bien changé. L’ère du digital a bousculé l’ordre des choses et oblige les entreprises à plus de sincérité. En effet, la moindre incohérence ou maladresse sera épinglée ou moquée sur les réseaux sociaux. Dans une tribune publiée par le site spécialisée PetitWeb.fr deux professionnels de la communication digitale soulignent les rapports entre RSE et digital.
Après avoir observé que les marques françaises qui s’exportent le mieux à l’international sont celles qui ont mis le paquet sur la RSE, les deux auteurs analysent les spécificités de notre époque. « Le digital exacerbe le besoin de sens. Il impose sincérité et souci d’efficacité des actions de marques pour contribuer à rendre le monde meilleur. L’authenticité et la transparence sont cruciales, quand le digital amplifie et sanctionne le moindre écart aux engagements annoncés. L'époque impose une rigueur supplémentaire en matière d’engagement des entreprises : respect des données personnelles, non financement de sites malveillants, règles fiscales locales, écosystème vertueux pour les territoires et les citoyens. Les consom’acteurs ne laissent plus rien passer » expliquent-ils.
Et c’est de ce nouveau rapport à l’opinion public que nait la nécessité de soigner sa responsabilité sociale. « Aussi, pour la bonne santé des marques et la pertinence qu’elles souhaitent offrir à leurs publics (salariés, clients, prospects, partenaires, investisseurs…), elles doivent mettre à jour leur politique RSE, notamment en matière de soutien des partenaires médias activés durant leurs campagnes. Si les consommateurs plébiscitent le sens et la sincérité, il est peut-être temps d’intégrer à sa politique RSE le choix de ses partenaires digitaux, d’arrêter de soutenir des plateformes hors de contrôle jugées peu vertueuses par les consommateurs- voire carrément délétères quand elles laissent fleurir les fake news. Si les Français réclament de la transparence pour leurs yaourts, ils en demanderont, tôt ou tard , aux plateformes digitales, financées par les marques » conclue le texte.
Lire en intégralité la tribune sur le site PetitWeb.fr
Après avoir observé que les marques françaises qui s’exportent le mieux à l’international sont celles qui ont mis le paquet sur la RSE, les deux auteurs analysent les spécificités de notre époque. « Le digital exacerbe le besoin de sens. Il impose sincérité et souci d’efficacité des actions de marques pour contribuer à rendre le monde meilleur. L’authenticité et la transparence sont cruciales, quand le digital amplifie et sanctionne le moindre écart aux engagements annoncés. L'époque impose une rigueur supplémentaire en matière d’engagement des entreprises : respect des données personnelles, non financement de sites malveillants, règles fiscales locales, écosystème vertueux pour les territoires et les citoyens. Les consom’acteurs ne laissent plus rien passer » expliquent-ils.
Et c’est de ce nouveau rapport à l’opinion public que nait la nécessité de soigner sa responsabilité sociale. « Aussi, pour la bonne santé des marques et la pertinence qu’elles souhaitent offrir à leurs publics (salariés, clients, prospects, partenaires, investisseurs…), elles doivent mettre à jour leur politique RSE, notamment en matière de soutien des partenaires médias activés durant leurs campagnes. Si les consommateurs plébiscitent le sens et la sincérité, il est peut-être temps d’intégrer à sa politique RSE le choix de ses partenaires digitaux, d’arrêter de soutenir des plateformes hors de contrôle jugées peu vertueuses par les consommateurs- voire carrément délétères quand elles laissent fleurir les fake news. Si les Français réclament de la transparence pour leurs yaourts, ils en demanderont, tôt ou tard , aux plateformes digitales, financées par les marques » conclue le texte.
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