« En adhérant à la charte Villes et Territoires « sans perturbateurs endocriniens » ce 22 novembre, la Région Île-de-France demande aux collectivités bénéficiaires d'aides régionales liées aux équipements scolaires, sportifs ou à la petite enfance, de respecter 5 engagements de principe, en faveur de l'environnement et de la santé des Franciliens » explique le communiqué de la région Ile-de-France.
En étant la première région à s’engager dans la lutte contre les effets nocifs de ces substances, la collectivité veut marquer les esprits. Signé le 20 mars dernier, le document vise à s’attaquer aux produits qui contiennent des perturbateurs endocriniens. Les cinq mesures sont formulées ainsi : « Restreindre et éliminer à terme l'usage des produits phytosanitaires et biocides qui contiennent des perturbateurs endocriniens et accompagner les habitants dans cette démarche. Réduire l'exposition aux perturbateurs endocriniens dans l'alimentation et développer la consommation d'aliments biologiques. Favoriser l'information des professionnels de santé, des collectivités, de la petite enfance et des acteurs économiques. Éliminer progressivement les perturbateurs endocriniens des contrats et achats publics par le biais de critères d'éco-conditionnalité. Informer tous les ans les citoyens de l'avancement des engagements pris » liste le texte de la Région.
Pour faire la différence et montrer l’exemple aux consommateurs, des mesures concrètes sont mises en avant dans les activités forts consommateurs de produits chimiques. La politique de l’eau, l’agriculture et l’horticulture, la gestion forestière et la gestion des écosystèmes sont particulièrement concernés par cet effort de la collectivité.
Si les 1 300 collectivités qui composent la région vont recevoir la consigne de respecter les cinq engagements listés plus haut, le plus grand effort sanitaire concerne les consommateurs. Ce n’est qu’en étant attentif aux compositions des produits de tous les jours qu’une grande différence peut être faite dans le domaine. A ce titre les applications qui permettent de scanner les produits sont un outil précieux.
En étant la première région à s’engager dans la lutte contre les effets nocifs de ces substances, la collectivité veut marquer les esprits. Signé le 20 mars dernier, le document vise à s’attaquer aux produits qui contiennent des perturbateurs endocriniens. Les cinq mesures sont formulées ainsi : « Restreindre et éliminer à terme l'usage des produits phytosanitaires et biocides qui contiennent des perturbateurs endocriniens et accompagner les habitants dans cette démarche. Réduire l'exposition aux perturbateurs endocriniens dans l'alimentation et développer la consommation d'aliments biologiques. Favoriser l'information des professionnels de santé, des collectivités, de la petite enfance et des acteurs économiques. Éliminer progressivement les perturbateurs endocriniens des contrats et achats publics par le biais de critères d'éco-conditionnalité. Informer tous les ans les citoyens de l'avancement des engagements pris » liste le texte de la Région.
Pour faire la différence et montrer l’exemple aux consommateurs, des mesures concrètes sont mises en avant dans les activités forts consommateurs de produits chimiques. La politique de l’eau, l’agriculture et l’horticulture, la gestion forestière et la gestion des écosystèmes sont particulièrement concernés par cet effort de la collectivité.
Si les 1 300 collectivités qui composent la région vont recevoir la consigne de respecter les cinq engagements listés plus haut, le plus grand effort sanitaire concerne les consommateurs. Ce n’est qu’en étant attentif aux compositions des produits de tous les jours qu’une grande différence peut être faite dans le domaine. A ce titre les applications qui permettent de scanner les produits sont un outil précieux.