"Directrice de recherche à l'IRD, Valérie Verdier était, jusqu'à sa nomination, directrice de l'Unité mixte de recherche Interactions plantes micro-organismes environnement (IPME) et avait la responsabilité de l'un des cinq départements scientifiques de l'IRD : le département Écologie, biodiversité et fonctionnement des écosystèmes continentaux (ECOBIO)", explique dans un communiqué l'IRD, qui précise qu'elle apportait ainsi "un cadrage stratégique à la politique scientifique de l'Institut, au service d'un développement durable et d'un partenariat équitable avec les chercheurs et institutions de recherche des pays du Sud."
Référente scientifique auprès de la délégation de l'IRD en Occitanie, "attentive au dialogue avec les tutelles ainsi qu'avec l'ensemble des partenaires scientifiques et institutionnels, elle représente l'IRD dans les instances de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB), de l'I-Site Muse et de l'Alliance internationale Phytobiome."
Phytopathologiste, Valérie Verdier est "Docteur en sciences végétales de l'Université Paris-Sud (1988) et titulaire d'une Habilitation à diriger des recherches (HDR)" ajoute le communiqué de l'IRD, qui assure qu'elle "étudie les interactions entre les bactéries phytopathogènes et les plantes tropicales, dont la compréhension est un enjeu crucial pour la sécurité alimentaire."
Co-auteure de plus de 100 publications scientifiques, "elle est reconnue internationalement pour ses contributions fondamentales à la compréhension des mécanismes par lesquels les bactéries causent des maladies notamment au manioc et au riz, et aux approches développées pour leur contrôle."
Référente scientifique auprès de la délégation de l'IRD en Occitanie, "attentive au dialogue avec les tutelles ainsi qu'avec l'ensemble des partenaires scientifiques et institutionnels, elle représente l'IRD dans les instances de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB), de l'I-Site Muse et de l'Alliance internationale Phytobiome."
Phytopathologiste, Valérie Verdier est "Docteur en sciences végétales de l'Université Paris-Sud (1988) et titulaire d'une Habilitation à diriger des recherches (HDR)" ajoute le communiqué de l'IRD, qui assure qu'elle "étudie les interactions entre les bactéries phytopathogènes et les plantes tropicales, dont la compréhension est un enjeu crucial pour la sécurité alimentaire."
Co-auteure de plus de 100 publications scientifiques, "elle est reconnue internationalement pour ses contributions fondamentales à la compréhension des mécanismes par lesquels les bactéries causent des maladies notamment au manioc et au riz, et aux approches développées pour leur contrôle."