L’autonomie économique des femmes est imbriquée avec la situation économique. Ainsi depuis début 2019 et les crises économiques la situation de ces dernières est préoccupante. « Discriminées dans l'accès au marché du travail et dans leur progression de carrière, les femmes sont les premières victimes économiques de la COVID-19. Si rien n'est fait, la pandémie amènera 47 millions supplémentaires d'entre elles sous le seuil de pauvreté, inversant des décennies de progrès vers l'éradication de l'extrême pauvreté. Malgré de nombreux engagements internationaux appuyant l'autonomisation économique des femmes, des inégalités persistent. Multiformes, elles s'expriment notamment par un accès entravé à la propriété. Ainsi, tandis que la terre est l'une des premières sources de revenus pour les populations rurales, les femmes ne représentent que 13 % des propriétaires agricoles à l'échelle mondiale » explique l’ONU Femmes.
A l’échelle de la planète, l’accès au travail des femmes a reculé de trois points avec un taux d’activité de 48% en 2019. « Qui plus est, la discrimination de genre enferme souvent les femmes dans des emplois précaires et/ou informels, limite leur participation aux processus décisionnels et restreint leur accès aux actifs économiques. L'inégale répartition des congés parentaux et des tâches domestiques pèse lourdement sur les possibilités d'entrées et d'évolutions des femmes dans le monde professionnel. En effet, les femmes réalisent les trois quarts du travail domestique non rémunéré au niveau mondial. En conséquence cela les oblige souvent à se tourner vers un travail à temps partiel. En France, elles sont 29,3 % à travailler à temps partiel, contre 8,4 % des hommes » appuie le communiqué.
Les Nations Unies insistent en plus sur le fait qu’il s’agit d’un levier économique clé. « Un accès égal des femmes sur le marché du travail contribuerait directement à la croissance. La productivité en serait accrue mécaniquement du fait de l'augmentation de la main-d'oeuvre, mais aussi grâce aux bienfaits économiques liés à la diversité. Si le taux d'emploi des femmes atteignait celui des hommes, le Produit Intérieur Brut (PIB) de la Zone Euro augmenterait de 13 % . Au niveau global, l'égalité professionnelle pourrait entraîner une hausse du PIB mondial de 28 000 milliards de dollars, ce qui aurait également des retombées positives sur le niveau de vie des hommes. » appuie le texte.
A l’échelle de la planète, l’accès au travail des femmes a reculé de trois points avec un taux d’activité de 48% en 2019. « Qui plus est, la discrimination de genre enferme souvent les femmes dans des emplois précaires et/ou informels, limite leur participation aux processus décisionnels et restreint leur accès aux actifs économiques. L'inégale répartition des congés parentaux et des tâches domestiques pèse lourdement sur les possibilités d'entrées et d'évolutions des femmes dans le monde professionnel. En effet, les femmes réalisent les trois quarts du travail domestique non rémunéré au niveau mondial. En conséquence cela les oblige souvent à se tourner vers un travail à temps partiel. En France, elles sont 29,3 % à travailler à temps partiel, contre 8,4 % des hommes » appuie le communiqué.
Les Nations Unies insistent en plus sur le fait qu’il s’agit d’un levier économique clé. « Un accès égal des femmes sur le marché du travail contribuerait directement à la croissance. La productivité en serait accrue mécaniquement du fait de l'augmentation de la main-d'oeuvre, mais aussi grâce aux bienfaits économiques liés à la diversité. Si le taux d'emploi des femmes atteignait celui des hommes, le Produit Intérieur Brut (PIB) de la Zone Euro augmenterait de 13 % . Au niveau global, l'égalité professionnelle pourrait entraîner une hausse du PIB mondial de 28 000 milliards de dollars, ce qui aurait également des retombées positives sur le niveau de vie des hommes. » appuie le texte.