Copyright Caroline Ablain Ville de Rennes (espace presse)
Rennes, capitale française de la biodiversité. La ville bretonne a été choisie parmi les soixante-douze candidats dans le cadre de l’élection annuelle organisée par Naturparif. Pour cette édition 2016, le thème arrêté était « Sols et biodiversité ».
« Depuis les années 70, face à l'augmentation constante du patrimoine végétal, la ville de Rennes a pris conscience de l'inadéquation des techniques de gestion appliquées et du risque qu'elles pouvaient représenter pour la survie des espaces nouvellement créés. Un lourd travail a été entrepris consistant à substituer aux pratiques uniformes en vigueur, des pratiques adaptées aux spécificités de chaque site » explique la Ligue pour la protection des oiseaux dans un communiqué consacré à cette élection.
Avec cette récompense, Rennes perçoit les fruits de cet engagement de longue haleine, depuis une époque où les questions de protection de la biodiversité n’étaient pas aussi populaires qu’aujourd’hui. « Rennes a ainsi mis en place, dès 1981, la « gestion différenciée des espaces verts » au travers d'un « code qualité » assurant une progression fine d'un code à l'autre afin de ne pas heurter les sensibilités par des évolutions visuelles trop brutales, pour lesquelles les habitants et les jardiniers n'avaient pas été préparées. Les parcs et jardins de la ville ont ainsi été classés tout d'abord en neuf catégories simplifiées au fil du temps à cinq catégories : du parc très maîtrisé au jardin sauvage. C'est dans cette dynamique positive que la ville de Rennes a su anticiper l'avenir et proposer ainsi des actions innovantes, reconnues au niveau national » continue le texte.
« Au-delà d’une récompense pour nos actions accomplies, c'est avant tout une incitation à poursuivre nos efforts en faveur de la biodiversité Ce prix revient à tous les agents qui participent chaque jour à la réussite des actions environnementales » a commenté la maire de la ville, Nathalie Appéré à l’occasion de la remise du prix vendredi 3 février.
« Depuis les années 70, face à l'augmentation constante du patrimoine végétal, la ville de Rennes a pris conscience de l'inadéquation des techniques de gestion appliquées et du risque qu'elles pouvaient représenter pour la survie des espaces nouvellement créés. Un lourd travail a été entrepris consistant à substituer aux pratiques uniformes en vigueur, des pratiques adaptées aux spécificités de chaque site » explique la Ligue pour la protection des oiseaux dans un communiqué consacré à cette élection.
Avec cette récompense, Rennes perçoit les fruits de cet engagement de longue haleine, depuis une époque où les questions de protection de la biodiversité n’étaient pas aussi populaires qu’aujourd’hui. « Rennes a ainsi mis en place, dès 1981, la « gestion différenciée des espaces verts » au travers d'un « code qualité » assurant une progression fine d'un code à l'autre afin de ne pas heurter les sensibilités par des évolutions visuelles trop brutales, pour lesquelles les habitants et les jardiniers n'avaient pas été préparées. Les parcs et jardins de la ville ont ainsi été classés tout d'abord en neuf catégories simplifiées au fil du temps à cinq catégories : du parc très maîtrisé au jardin sauvage. C'est dans cette dynamique positive que la ville de Rennes a su anticiper l'avenir et proposer ainsi des actions innovantes, reconnues au niveau national » continue le texte.
« Au-delà d’une récompense pour nos actions accomplies, c'est avant tout une incitation à poursuivre nos efforts en faveur de la biodiversité Ce prix revient à tous les agents qui participent chaque jour à la réussite des actions environnementales » a commenté la maire de la ville, Nathalie Appéré à l’occasion de la remise du prix vendredi 3 février.