Sur l’Impôt sur la fortune (ISF), Bruno Le Maire ne laisse pas de marge de manœuvre A l’occasion d’une interview à France Inter, le ministre de l’Economie a insisté sur ce point. D’après lui, le rétablissement de l’ISF tel qu’il était auparavant n’est pas une solution efficace pour faire face aux demandes des contestataires actuels. « L’ISF existe depuis des années, il n’a pas permis d’endiguer la pauvreté dans notre pays, il n’a pas permis de réduire le chômage » a-t-il insisté. Selon lui s’il y a des changements à prévoir du côté de la fiscalité ce n’est pas de ce côté qu’il faut regarder.
Comme pour donner un cadre aux discussions en cours dans le cadre du Grand débat, le ministre a donc fermé cette porte tout en défendant ce que l’exécutif a déjà entrepris. « En la matière, « je crois bien davantage aux mesures qui ont déjà été prises », a poursuivi le ministre, citant l’augmentation de la prime d’activité, la baisse des cotisations sociales, la fin de la taxation de l’intéressement des salariés ou encore les heures supplémentaires défiscalisées », rapporte 20 Minutes .
En revanche, du côté des pistes envisageables, Bruno Le Maire a évoqué la diminution de la TVA. « Concernant la possibilité de mettre en place une TVA à 0 % sur certains produits de première nécessité, il s’est dit « ouvert à toutes les propositions » qui sortiraient du grand débat, reconnaissant un « manque de cohérence sur les taux de TVA ». « Je suis tout à fait prêt à ce que nous allions beaucoup plus loin dans la baisse des impôts, mais dans ce cas-là, il faut aller beaucoup plus loin dans la baisse de la dépense publique » » a-t-il ajouté, d’après les citations du quotidien gratuit.
Comme pour donner un cadre aux discussions en cours dans le cadre du Grand débat, le ministre a donc fermé cette porte tout en défendant ce que l’exécutif a déjà entrepris. « En la matière, « je crois bien davantage aux mesures qui ont déjà été prises », a poursuivi le ministre, citant l’augmentation de la prime d’activité, la baisse des cotisations sociales, la fin de la taxation de l’intéressement des salariés ou encore les heures supplémentaires défiscalisées », rapporte 20 Minutes .
En revanche, du côté des pistes envisageables, Bruno Le Maire a évoqué la diminution de la TVA. « Concernant la possibilité de mettre en place une TVA à 0 % sur certains produits de première nécessité, il s’est dit « ouvert à toutes les propositions » qui sortiraient du grand débat, reconnaissant un « manque de cohérence sur les taux de TVA ». « Je suis tout à fait prêt à ce que nous allions beaucoup plus loin dans la baisse des impôts, mais dans ce cas-là, il faut aller beaucoup plus loin dans la baisse de la dépense publique » » a-t-il ajouté, d’après les citations du quotidien gratuit.