Alors que les principales critiques contre le parti de la majorité concernaient l’absence de programme, Nathalie Loiseau se lance dans les propositions. La tête de liste de La République en marche (LRM) pour les élections européennes a profité de son invitation sur France Inter dimanche 5 mai, pour faire une annonce de taille. « La tête de liste La République en marche (LRM) aux élections européennes, Nathalie Loiseau, a plaidé, dimanche 5 mai, pour orienter « l’épargne des Européens » vers la transition écologique afin de financer une grande partie d’un plan d’investissement de 1 000 milliards d’euros d’ici à 2024 » rapporte Le Monde , partenaire de l’émission qui a invité la candidate.
Nathalie Loiseau a ainsi regretté que seulement 1% de l’épargne européenne actuelle soit allouée à la transition écologique. Assurant que l’UE doit investir avec ses propres deniers à hauteur de 40% de ses dépenses pour la transition – soit environ 165 milliards d’euros – l’ancienne ministre des affaires européennes plaide pour que ce ne soit pas la seule source de financement. « On ne fera pas tout avec de l’argent public, sinon on laissera à nos enfants de la dette écologique et de la dette financière en même temps (…). Il faut une banque européenne du climat qui soutienne les prêts, avec des prêts garantis, à taux préférentiels, pour qu’enfin les banques soient derrière les énergies renouvelables, l’isolation des logements, les transports propres, tout ce qui fait qu’on sera au rendez-vous de la transition écologique », a déclaré Nathalie Loiseau.
A trois semaines exactement du scrutin, les premières annonces du parti présidentiel sont les bienvenues. D’après Le Journal du Dimanche, dans ce même thème de l’écologie, la liste LRM devrait proposer la fin des voitures diesel et essence d’ici 2040 et une taxe sur le kérosène pour les vols en Union européenne.
Nathalie Loiseau a ainsi regretté que seulement 1% de l’épargne européenne actuelle soit allouée à la transition écologique. Assurant que l’UE doit investir avec ses propres deniers à hauteur de 40% de ses dépenses pour la transition – soit environ 165 milliards d’euros – l’ancienne ministre des affaires européennes plaide pour que ce ne soit pas la seule source de financement. « On ne fera pas tout avec de l’argent public, sinon on laissera à nos enfants de la dette écologique et de la dette financière en même temps (…). Il faut une banque européenne du climat qui soutienne les prêts, avec des prêts garantis, à taux préférentiels, pour qu’enfin les banques soient derrière les énergies renouvelables, l’isolation des logements, les transports propres, tout ce qui fait qu’on sera au rendez-vous de la transition écologique », a déclaré Nathalie Loiseau.
A trois semaines exactement du scrutin, les premières annonces du parti présidentiel sont les bienvenues. D’après Le Journal du Dimanche, dans ce même thème de l’écologie, la liste LRM devrait proposer la fin des voitures diesel et essence d’ici 2040 et une taxe sur le kérosène pour les vols en Union européenne.