Démarré en février 2014 pour se terminer en juillet dernier, la centrale électrique du Rwanda est passée du stade de la signature à sa complète réalisation en un peu plus d'une année.
Un communiqué de KT Press explique comment le Rwanda, qualifié de « pionnier vert » de l’Afrique, s’est lancé dans le plus grand projet d’énergie solaire subsaharien.
Un communiqué de KT Press explique comment le Rwanda, qualifié de « pionnier vert » de l’Afrique, s’est lancé dans le plus grand projet d’énergie solaire subsaharien.
« Améliorer l’efficacité de 20% »
Le communiqué souligne que « du matin au soir, les panneaux photovoltaïques, contrôlé par ordinateur, vont littéralement suivre le soleil d'Est en Ouest, ce qui va améliorer l'efficacité de 20% par rapport aux panneaux fixes. Les panneaux sont en provenance de Chine, tandis que les onduleurs et transformateurs sont d'origine allemande. »
La technologie utilisée est d’origine israélienne alors que c'est une société néerlandaise, Gigawatt Global, qui s'est chargée de l'étude et de la réalisation du projet. Le co-fondateur de cette société a précisé : « Nous voulons faire du Rwanda un catalyseur pour l'énergie solaire en Afrique subsaharienne », avant d’ajouter : « Cela donne un très bon sentiment de savoir que nous avons mis quelque chose de concret sur le terrain. Ce n'est pas une théorie, c'est quelque chose de très concret et pratique qui a un impact significatif sur ce pays, où le soleil ne coûte rien et est abondant ».
Côté finances, le communiqué explique que « le financement de ce projet d'énergie solaire est évalué à près de 24 millions de dollars », et qu’ « il a nécessité le soutien de différents Fonds d'Investissements (Pays-Bas, Norvège, Grande Bretagne) ainsi que de l'apport de subventions américaines et finlandaises. »
Ainsi, le Rwanda est aujourd'hui considéré comme le « pionnier vert » de l'Afrique, alors qu’il « vient d'accepter officiellement l'Amendement de Doha au Protocole de Kyoto. »
La technologie utilisée est d’origine israélienne alors que c'est une société néerlandaise, Gigawatt Global, qui s'est chargée de l'étude et de la réalisation du projet. Le co-fondateur de cette société a précisé : « Nous voulons faire du Rwanda un catalyseur pour l'énergie solaire en Afrique subsaharienne », avant d’ajouter : « Cela donne un très bon sentiment de savoir que nous avons mis quelque chose de concret sur le terrain. Ce n'est pas une théorie, c'est quelque chose de très concret et pratique qui a un impact significatif sur ce pays, où le soleil ne coûte rien et est abondant ».
Côté finances, le communiqué explique que « le financement de ce projet d'énergie solaire est évalué à près de 24 millions de dollars », et qu’ « il a nécessité le soutien de différents Fonds d'Investissements (Pays-Bas, Norvège, Grande Bretagne) ainsi que de l'apport de subventions américaines et finlandaises. »
Ainsi, le Rwanda est aujourd'hui considéré comme le « pionnier vert » de l'Afrique, alors qu’il « vient d'accepter officiellement l'Amendement de Doha au Protocole de Kyoto. »