Une réponse à deux questions. On se demandait ces derniers mois qui reprendrait la tête de la RATP et où irait Jean Castex. « Il prendra donc la tête de la RATP. La fonction était vacante depuis le départ fin septembre de Catherine Guillouard pour raisons personnelles. Selon le site spécialiste des transports Mobilettre, tout s'est joué ce week-end. Lors d'une entrevue, le président de la République, Emmanuel Macron, aurait proposé à l'ex-locataire de Matignon de devenir PDG de la RATP. Et ce dernier l'aurait accepté. Un dernier obstacle devait être levé : obtenir un avis favorable de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Ce n'était pas évident : en tant que premier ministre, Jean Castex a pris des décisions touchant à la RATP comme la confirmation du monopole sur le Grand Paris Express du service de sûreté de l'opérateur du métro parisien. Finalement, la HATVP vient d'accorder son imprimatur à cette nomination » nous apprend Le Figaro.
Désormais, l’ancien Premier ministre doit passer devant les deux parlements pour les auditions nécessaires avant sa prise de poste. « En tout cas, Jean Castex aura du pain sur la planche car la RATP a plusieurs chantiers brûlants. Faute de conducteurs, 26% de ses bus ne circulent pas à Paris et en petite couronne. Recrutements insuffisants, grève de 59 minutes, arrêts de travail frauduleux… Les raisons multiples de cette situation illustrent que tout n'est pas parfait au sein du groupe. Plus largement, les 18.000 salariés affectés aux bus parisiens à la RATP supportent mal la réorganisation faite par Catherine Guillouard pour préparer l'ouverture à la concurrence sur les bus parisiens effective dès 2024 : depuis août, ces agents gagnent un peu plus mais en contrepartie ont perdu quelques jours de congés » continue le quotidien.
Clin d’œil ou fait significatif du fonctionnement de l’exécutif depuis 2017, Jean Castex prend ce poste à la RATP, quand l’actuelle cheffe du gouvernement était, elle, une ancienne haut responsable de la SNCF dans une précédente vie.
Désormais, l’ancien Premier ministre doit passer devant les deux parlements pour les auditions nécessaires avant sa prise de poste. « En tout cas, Jean Castex aura du pain sur la planche car la RATP a plusieurs chantiers brûlants. Faute de conducteurs, 26% de ses bus ne circulent pas à Paris et en petite couronne. Recrutements insuffisants, grève de 59 minutes, arrêts de travail frauduleux… Les raisons multiples de cette situation illustrent que tout n'est pas parfait au sein du groupe. Plus largement, les 18.000 salariés affectés aux bus parisiens à la RATP supportent mal la réorganisation faite par Catherine Guillouard pour préparer l'ouverture à la concurrence sur les bus parisiens effective dès 2024 : depuis août, ces agents gagnent un peu plus mais en contrepartie ont perdu quelques jours de congés » continue le quotidien.
Clin d’œil ou fait significatif du fonctionnement de l’exécutif depuis 2017, Jean Castex prend ce poste à la RATP, quand l’actuelle cheffe du gouvernement était, elle, une ancienne haut responsable de la SNCF dans une précédente vie.