Euronext, qui gère le marché financier parisien, a donné son accord. Il ne s’agit donc pas d’une initiative en dehors du système officiel mais bien d’un indice boursier tout ce qu’il y a de plus officiel. Le CAC 40 de l’environnement va voir le jour dans les prochains mois (aucune date n’a été communiquée pour l’heure). « On connaît le traditionnel CAC 40, l'indice boursier de référence en France qui permet de suivre la performance des 40 plus importantes (en terme de capitalisation boursière) entreprises françaises cotées à la bourse de Paris. Un nouvel indice va bientôt voir le jour : le CAC 40 de l'environnement. Cet indice va se baser sur les 40 sociétés cotées à la bourse de Paris les plus respectueuses de l'environnement. Il existe déjà des indicateurs de ce type, mais celui-ci présente une spécificité : ce sera le premier indice à intégrer les questions de gestion durable de l'eau, de changement climatique et de déforestation » nous apprend le site spécialisé Boursorama.
A l’origine du projet, une collaboration entre Goldman Sachs et l’ONG anglaise CDP. Les deux structures ont signé conjointement l’accord avec Euronext. L’expertise financière de Goldman Sachs conjuguée à l’expérience de CDP qui réalise chaque année une enquête sur l’impact environnemental de 6 000 grandes entreprises dans le monde a donné confiance à l’institut européen. Le travail de l’ONG permet d’anticiper quelques aspects du classement des entreprises cotées grâce au travail déjà effectué.
Etudiant les données à sa disposition, « Elle leur attribue ensuite une note de performance environnementale qui peut varier de A, pour les plus performantes, à D (pour les moins performantes). En France, 11 groupes ont obtenu la note maximale de A en 2017 dans au moins une des trois catégories (changement climatique, gestion durable de l'eau, déforestation). Il s'agit de Danone, Kering, Essilor, L'Oréal, Sanofi, Klépierre, Engie, Atos, Schneider, Sopra-Steria et Suez » rapporte Boursorama.
A l’origine du projet, une collaboration entre Goldman Sachs et l’ONG anglaise CDP. Les deux structures ont signé conjointement l’accord avec Euronext. L’expertise financière de Goldman Sachs conjuguée à l’expérience de CDP qui réalise chaque année une enquête sur l’impact environnemental de 6 000 grandes entreprises dans le monde a donné confiance à l’institut européen. Le travail de l’ONG permet d’anticiper quelques aspects du classement des entreprises cotées grâce au travail déjà effectué.
Etudiant les données à sa disposition, « Elle leur attribue ensuite une note de performance environnementale qui peut varier de A, pour les plus performantes, à D (pour les moins performantes). En France, 11 groupes ont obtenu la note maximale de A en 2017 dans au moins une des trois catégories (changement climatique, gestion durable de l'eau, déforestation). Il s'agit de Danone, Kering, Essilor, L'Oréal, Sanofi, Klépierre, Engie, Atos, Schneider, Sopra-Steria et Suez » rapporte Boursorama.