Un article en ligne des Echos s’interroge sur les enjeux du métier de responsable RSE. Il fait intervenir Pour Gilles Berhault, le Président du Comité 21, le « premier réseau d’acteurs du développement durable en France ».
Créé en 1992, le Comité 21 est une association qui regroupe plus de 500 membres, dont des entreprises, des collectivités territoriales, ou encore des ONG.
Selon son témoignage dans Les Echos, « le business lui-même est menacé si l’entreprise n’inclut pas le climat dans son modèle économique. »
Créé en 1992, le Comité 21 est une association qui regroupe plus de 500 membres, dont des entreprises, des collectivités territoriales, ou encore des ONG.
Selon son témoignage dans Les Echos, « le business lui-même est menacé si l’entreprise n’inclut pas le climat dans son modèle économique. »
« L’invention de solutions »
Pour Gilles Berhault, le Président du Comité 21, « il est temps d’intégrer les enjeux climat dans le business model et par conséquent la stratégie de l’entreprise, pour une bonne raison, c’est que, au-delà d’être vertueuse, la démarche est rentable. »
Ainsi, comme il l’explique dans un article en ligne du journal Les Echos, « ce qui découle de la maîtrise des impacts, c’est l’invention de solutions qui constitueront à terme de nouveaux marchés. Il s’agit donc d’innovation, de création de valeur, de compétitivité... »
Car pour le Président du Comité 21 « le climat est une question stratégique pour les organisations, aussi doit-il être porté au plus haut niveau hiérarchique « , et il ajoute : « nous le voyons au Comité 21 : nombre de directeurs généraux représentent eux-mêmes leur société. Parmi nos membres, nous comptons également des directeurs Responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) et Développement durable (DD) qui siègent au comité exécutif, ce qui est indispensable aujourd’hui, pour les entreprises de toute taille et de tout secteur. »
Ainsi, « toutes les organisations peuvent potentiellement être mises à mal par une catastrophe naturelle, un dysfonctionnement de la supply chain, un produit trop polluant, des pratiques irresponsables qui entacheraient la réputation... C’est le business lui-même qui est menacé si l’entreprise n’inclut pas le climat dans son modèle économique. »
Lire l'intégralité de l'article des Echos ici
Ainsi, comme il l’explique dans un article en ligne du journal Les Echos, « ce qui découle de la maîtrise des impacts, c’est l’invention de solutions qui constitueront à terme de nouveaux marchés. Il s’agit donc d’innovation, de création de valeur, de compétitivité... »
Car pour le Président du Comité 21 « le climat est une question stratégique pour les organisations, aussi doit-il être porté au plus haut niveau hiérarchique « , et il ajoute : « nous le voyons au Comité 21 : nombre de directeurs généraux représentent eux-mêmes leur société. Parmi nos membres, nous comptons également des directeurs Responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) et Développement durable (DD) qui siègent au comité exécutif, ce qui est indispensable aujourd’hui, pour les entreprises de toute taille et de tout secteur. »
Ainsi, « toutes les organisations peuvent potentiellement être mises à mal par une catastrophe naturelle, un dysfonctionnement de la supply chain, un produit trop polluant, des pratiques irresponsables qui entacheraient la réputation... C’est le business lui-même qui est menacé si l’entreprise n’inclut pas le climat dans son modèle économique. »
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