Au moins ce n’est pas dans l’indifférence générale. Désormais, à chaque fois qu’une réaction raciste est observée dans un stade de foot, les réactions pleuvent. Depuis un moment déjà, les footballeurs africains savent qu’il y a peu de chance qu’ils terminent leur carrière professionnelle sans être à un moment confronté à des cris de singes qui leur sont adressés. Particulièrement présents en Italie, ou en Europe de l’Est, ce phénomène est une réalité que personne ne nie.
Le dernier épisode d’une longue série date d’hier. « Ce dimanche, en fin d’après-midi, les amoureux du football européen ont vécu une scène qu’on n’a franchement pas envie de voir se répéter. Lors de la rencontre de Liga Nos entre le Vitória Guimarães et Porto (score final deux buts à un pour les Dragões), Moussa Marega, l’international malien, a été victime de cris racistes dans le stade, dans lequel il a évolué entre 2016 et 2017. À la 71e minute, il a décidé de quitter le terrain malgré les tentatives de le calmer venant de son coach et de certains de ses coéquipiers, qui auraient été mieux inspirés de le suivre vers la sortie » raconte Foot Mercato .
Le site spécialisé sur les informations et rumeurs de transferts, a relevé les nombreux messages de soutiens et les dénonciations qui ont suivi. Personnalités elles aussi victimes et clubs de foot se sont empressées de monter au créneau. Le club allemand de Dortmund a ainsi tweeté : « nous soutenons avec force et nous nous tenons aux côtés de Moussa Marega qui a été victime de chants racistes aujourd’hui. Encore et encore, assez c’est assez ».
Mais si ces déclarations permettent de dénoncer une situation, elles n’ont pas encore permis de mettre fin à ces situations. De ce point de vue, les clubs auraient tout intérêt à réfléchir à des punitions exemplaires contre les supporters. Des interdictions de stade qui feraient œuvre de salubrité publique.
Le dernier épisode d’une longue série date d’hier. « Ce dimanche, en fin d’après-midi, les amoureux du football européen ont vécu une scène qu’on n’a franchement pas envie de voir se répéter. Lors de la rencontre de Liga Nos entre le Vitória Guimarães et Porto (score final deux buts à un pour les Dragões), Moussa Marega, l’international malien, a été victime de cris racistes dans le stade, dans lequel il a évolué entre 2016 et 2017. À la 71e minute, il a décidé de quitter le terrain malgré les tentatives de le calmer venant de son coach et de certains de ses coéquipiers, qui auraient été mieux inspirés de le suivre vers la sortie » raconte Foot Mercato .
Le site spécialisé sur les informations et rumeurs de transferts, a relevé les nombreux messages de soutiens et les dénonciations qui ont suivi. Personnalités elles aussi victimes et clubs de foot se sont empressées de monter au créneau. Le club allemand de Dortmund a ainsi tweeté : « nous soutenons avec force et nous nous tenons aux côtés de Moussa Marega qui a été victime de chants racistes aujourd’hui. Encore et encore, assez c’est assez ».
Mais si ces déclarations permettent de dénoncer une situation, elles n’ont pas encore permis de mettre fin à ces situations. De ce point de vue, les clubs auraient tout intérêt à réfléchir à des punitions exemplaires contre les supporters. Des interdictions de stade qui feraient œuvre de salubrité publique.