Tout ce qui participe au débat sur les questions écologiques et environnementales mérite d’être mis en avant. D’abord parce que négliger les idées défendues par des arguments risque toujours de créer une marginalisation des voix discordantes. Une situation qui devient problématique et nuit aux discussions sereines et fructueuses. Le meilleur exemple est certainement à chercher de l’autre côté de l’Atlantique. Aux Etats-Unis, la tendance à mépriser ceux qui ont été enfermés sous l’étiquette de « climatosceptiques » a fini par déboucher sur l’élection de Donald Trump et la victoire d’un discours antiécologique.
Il est donc utile d’écouter et de discuter des discours les plus critiques. A ce titre, le journal libéral en ligne Contrepoints est intéressant en ce qu’il met régulièrement en avant des parti pris très critique de l’écologie. Dernier exemple en date, une tribune de l’auteur belge Drieu Godfredi qui pourfend l’écologie politique. « Terrible image que cette enfant suédoise de 15 ans, atteinte du syndrome d’Asperger, qui vient à la télévision taxer des acteurs sociaux de « crimes contre l’humanité ». Dérangeantes images que celles de ces enfants qui, avec la bénédiction de leurs parents, de leurs professeurs et de leur ministre (sic) vocifèrent en pleine rue des slogans politiques, à l’heure qui devrait les trouver en classe » commence l’auteur.
Selon lui, il s’agit ni plus ni moins que l’instrumentalisation d’un enfant pour une cause. « L’écologisme, qui est la version politique de l’écologie, possède une indéniable force de séduction. Cette idéologie est, dans certaines régions du monde, essentiellement cantonnées à l’Europe occidentale, celle dont on parle, celle qui a les faveurs des médias et de l’écrasante majorité des journalistes. Pour autant, les tenants de cette idéologie devraient reconnaître la légitimité de limites, quand il s’agit de diffuser leur message. L’instrumentalisation de nos semblables au sens kantien — considérer autrui comme un pur moyen au service de nos fins — est toujours pendable, sur le plan moral. A fortiori l’est-elle quand il s’agit d’enfants » continue Drieu Godfredi.
Une position un brin catastrophiste qui oublie de noter que la tendance critiquée dépasse très largement le sujet de l’écologie. L’utilisation de cas particuliers et de sentiments particuliers pour aborder une cause politique complexe est un phénomène médiatique très généralisé. Un aller-retour entre cas particulier et intérêt général sur lequel l’auteur belge a pourtant beaucoup réfléchi, lui qui se décrit lui-même comme « libéral classique ».
Lire ici en intégralité la tribune de Drieu Godfredi sur le site Contrepoints
Il est donc utile d’écouter et de discuter des discours les plus critiques. A ce titre, le journal libéral en ligne Contrepoints est intéressant en ce qu’il met régulièrement en avant des parti pris très critique de l’écologie. Dernier exemple en date, une tribune de l’auteur belge Drieu Godfredi qui pourfend l’écologie politique. « Terrible image que cette enfant suédoise de 15 ans, atteinte du syndrome d’Asperger, qui vient à la télévision taxer des acteurs sociaux de « crimes contre l’humanité ». Dérangeantes images que celles de ces enfants qui, avec la bénédiction de leurs parents, de leurs professeurs et de leur ministre (sic) vocifèrent en pleine rue des slogans politiques, à l’heure qui devrait les trouver en classe » commence l’auteur.
Selon lui, il s’agit ni plus ni moins que l’instrumentalisation d’un enfant pour une cause. « L’écologisme, qui est la version politique de l’écologie, possède une indéniable force de séduction. Cette idéologie est, dans certaines régions du monde, essentiellement cantonnées à l’Europe occidentale, celle dont on parle, celle qui a les faveurs des médias et de l’écrasante majorité des journalistes. Pour autant, les tenants de cette idéologie devraient reconnaître la légitimité de limites, quand il s’agit de diffuser leur message. L’instrumentalisation de nos semblables au sens kantien — considérer autrui comme un pur moyen au service de nos fins — est toujours pendable, sur le plan moral. A fortiori l’est-elle quand il s’agit d’enfants » continue Drieu Godfredi.
Une position un brin catastrophiste qui oublie de noter que la tendance critiquée dépasse très largement le sujet de l’écologie. L’utilisation de cas particuliers et de sentiments particuliers pour aborder une cause politique complexe est un phénomène médiatique très généralisé. Un aller-retour entre cas particulier et intérêt général sur lequel l’auteur belge a pourtant beaucoup réfléchi, lui qui se décrit lui-même comme « libéral classique ».
Lire ici en intégralité la tribune de Drieu Godfredi sur le site Contrepoints