Les concepteurs du stade de Brasilia l’affirment : c’est le plus écologique au monde. Le deuxième plus grand stade du pays a été construit en prévision de la Coupe du monde de football qui va débuter jeudi 12 juin. Il peut accueillir 69 432 spectateurs. Le stade suréquipé couterait 1,4 milliard de dollars.
Le site spécialisé Industrie & Technologie liste les caractéristiques exceptionnelles du stade : « Sur le toit, 9 600 panneaux photovoltaïques d’une puissance cumulée de 2,5 MW doivent permettre de satisfaire jusqu’à la moitié des besoins électriques du stade lors des pics de production. Des LED permettent quant à elles de réduire la consommation énergétique due à l’éclairage. Pour limiter les besoins d’éclairage, la structure recouvrant le stade a également été conçue pour laisser passer la lumière. Elle permet aussi de laisser le stade "transpirer", ce qui lui permet de se passer d’une importante climatisation. »
Le site spécialisé Industrie & Technologie liste les caractéristiques exceptionnelles du stade : « Sur le toit, 9 600 panneaux photovoltaïques d’une puissance cumulée de 2,5 MW doivent permettre de satisfaire jusqu’à la moitié des besoins électriques du stade lors des pics de production. Des LED permettent quant à elles de réduire la consommation énergétique due à l’éclairage. Pour limiter les besoins d’éclairage, la structure recouvrant le stade a également été conçue pour laisser passer la lumière. Elle permet aussi de laisser le stade "transpirer", ce qui lui permet de se passer d’une importante climatisation. »
Toit anti pollution
Le toit est constitué d’une membrane photocatalytique qui capte les particules polluantes : « selon les concepteurs, les particules captées chaque jour représenteraient, en matière de pollution de l’air, l’équivalent des rejets quotidiens de 1 000 véhicules » souligne Industrie & Technologie.
Par ailleurs, la structure du toit a été conçue pour pouvoir récupérer l’eau de pluie qui est ensuite stockée dans cinq réservoirs d’une capacité de 6,8 millions de litres d’eau. « L’eau non potable ainsi récupérée pourra être utilisée dans les toilettes et pour arroser la pelouse de manière à satisfaire 80 % des besoins totaux d’eau du site » explique le site spécialisé. Le toit a obtenu la certification LEED Platine, la plus haute dans le domaine pour un stade autosuffisant.
Ce genre de structure sportive commence à se généraliser. En France par exemple, le nouveau stade de Nice est équipé de 7 500 m2 de photovoltaïque, d’un système de récupération des eaux et d’une ventilation naturelle.
Par ailleurs, la structure du toit a été conçue pour pouvoir récupérer l’eau de pluie qui est ensuite stockée dans cinq réservoirs d’une capacité de 6,8 millions de litres d’eau. « L’eau non potable ainsi récupérée pourra être utilisée dans les toilettes et pour arroser la pelouse de manière à satisfaire 80 % des besoins totaux d’eau du site » explique le site spécialisé. Le toit a obtenu la certification LEED Platine, la plus haute dans le domaine pour un stade autosuffisant.
Ce genre de structure sportive commence à se généraliser. En France par exemple, le nouveau stade de Nice est équipé de 7 500 m2 de photovoltaïque, d’un système de récupération des eaux et d’une ventilation naturelle.