Si 60% des cadres songent à démissionner, c’est qu’il y a un problème dans le monde du travail. Prenant garde aux déductions hâtives, retenons de ce chiffre que pour des raisons diverses et variées, une nette majorité de cadres n’est pas satisfait de son emploi. Les raisons peuvent évidemment variées, et les conditions de travail ne sont pas forcément à montrer du doigt. Il peut s’agit de raisons personnelles, de plans de carrière ou de toutes autres motivations.
Pour autant derrière ce chiffre issu d’une étude de l’Ifop et Cadremploi, la question du sens au travail se pose. Si plus d’entreprises étaient capables de donner du sens à leur activité, l’épanouissement des cadres et des collaborateurs en général pourraient être une motivation suffisante pour avoir envie de poursuivre. Finalement les raisons pour lesquelles la plupart des cadres restent en poste sont peu enthousiasmantes. « Le cadre resterait donc en poste par frilosité et par peur de l'inconnu ? C'est la tendance que montre cette étude, qui entend « dresser les contours de la démission aujourd'hui », selon Frédéric Dabi, DGA de l'Ifop, qui ajoute qu'aujourd'hui « les candidats potentiels à la démission sont très nombreux»: six cadres sur dix envisagent ainsi de démissionner, une proportion qui monte à... 74% chez les 18-34 ans ! « Il n'y a pas de tabou chez les moins de 35 ans, on constate un réel clivage générationnel », ajoute Frédéric Dabi. Pourquoi sauter le pas ? Presque quatre cadres sur dix citent des perspectives professionnelles qui ne sont pas à la hauteur, un argument suivi de près par... la rémunération » rapporte Le Figaro.
Les perspectives et la rémunération sont évidemment clé. Mais si le marché du travail répond à des règles économiques simples en la matière, la forte proportion de ceux qui sont tentés par la démission démontre bien que l’épanouissement le cœur de la motivation. Sinon pourquoi se compliquer la vie ?
Pour autant derrière ce chiffre issu d’une étude de l’Ifop et Cadremploi, la question du sens au travail se pose. Si plus d’entreprises étaient capables de donner du sens à leur activité, l’épanouissement des cadres et des collaborateurs en général pourraient être une motivation suffisante pour avoir envie de poursuivre. Finalement les raisons pour lesquelles la plupart des cadres restent en poste sont peu enthousiasmantes. « Le cadre resterait donc en poste par frilosité et par peur de l'inconnu ? C'est la tendance que montre cette étude, qui entend « dresser les contours de la démission aujourd'hui », selon Frédéric Dabi, DGA de l'Ifop, qui ajoute qu'aujourd'hui « les candidats potentiels à la démission sont très nombreux»: six cadres sur dix envisagent ainsi de démissionner, une proportion qui monte à... 74% chez les 18-34 ans ! « Il n'y a pas de tabou chez les moins de 35 ans, on constate un réel clivage générationnel », ajoute Frédéric Dabi. Pourquoi sauter le pas ? Presque quatre cadres sur dix citent des perspectives professionnelles qui ne sont pas à la hauteur, un argument suivi de près par... la rémunération » rapporte Le Figaro.
Les perspectives et la rémunération sont évidemment clé. Mais si le marché du travail répond à des règles économiques simples en la matière, la forte proportion de ceux qui sont tentés par la démission démontre bien que l’épanouissement le cœur de la motivation. Sinon pourquoi se compliquer la vie ?