Que se passe-t-il et dans quel délai si l’on consomme un produit périmé ? Ça dépend des produis et des délais. « Chacun a ses propres techniques de conservation, aussi discutables soient-elle. En revanche, un indicateur est censé ne pas nous tromper : la date de péremption. Pourtant, là encore, il existe des exceptions. Des exceptions qui nous évitent bien des gâchis. Le chocolat, le yaourt, les sauces industrielles ou encore les produits surgelés sont des aliments qui conservent très bien après la DLC (Date limite de consommation NDLR). Mais ce ne sont pas les seuls. En revanche, il y a des produits alimentaires avec lesquels il faut faire attention et ainsi, réellement respecter la DLC » explique Biba Magazine .
Il faut déjà savoir lire les indications. « Sur les emballages de nos produits alimentaires figurent deux dates qui nous permettent de nous retrouver quant à la consommabilité du produit. Vous retrouverez donc la date limite de consommation (DLC, « à consommer jusqu’au…) et la date de durabilité minimal (DDM, date limite d’utilisation optimale). D’un côté, la DLC est fixée par le fabricant et est indiquée sur les produits alimentaires susceptibles de périmer et qui sont généralement emballés. Cela concerne donc les viandes, les yaourts, les paquets de gâteaux, les sachets de salade ou encore les plats cuisinés. La DDM, de son côté n’est qu’une indication. Elle ne donne pas d’indication sur un produit périmé mais sur les qualités gustatives et nutritionnelles de ce dernier. En effet, passés une certaine date, certains produits n’ont plus le même goût mais ne constituent pas pour autant de risques pour votre santé. C’est le cas notamment pour les boîtes de conserve ou encore les produits déshydratés. Voilà pour la différence (importante) entre la DLC et la DDM » avance le magazine.
Pour le reste, il n’est pas compliqué de se renseigner. Mais la principale distinction à connaitre est celle entre les produits frais et les produits impérissables. Ensuite, il y a des petites habitudes de consommation à mettre en place. Acheter peu de réserve si possible et classer les produits par ancienneté. De manière générale, le gaspillage est avant tout la conséquence de la consommation excessive ou d’une mauvaise gestion des stocks par les distributeurs.
Lire ici en intégralité les explications de Biba Magazine
Il faut déjà savoir lire les indications. « Sur les emballages de nos produits alimentaires figurent deux dates qui nous permettent de nous retrouver quant à la consommabilité du produit. Vous retrouverez donc la date limite de consommation (DLC, « à consommer jusqu’au…) et la date de durabilité minimal (DDM, date limite d’utilisation optimale). D’un côté, la DLC est fixée par le fabricant et est indiquée sur les produits alimentaires susceptibles de périmer et qui sont généralement emballés. Cela concerne donc les viandes, les yaourts, les paquets de gâteaux, les sachets de salade ou encore les plats cuisinés. La DDM, de son côté n’est qu’une indication. Elle ne donne pas d’indication sur un produit périmé mais sur les qualités gustatives et nutritionnelles de ce dernier. En effet, passés une certaine date, certains produits n’ont plus le même goût mais ne constituent pas pour autant de risques pour votre santé. C’est le cas notamment pour les boîtes de conserve ou encore les produits déshydratés. Voilà pour la différence (importante) entre la DLC et la DDM » avance le magazine.
Pour le reste, il n’est pas compliqué de se renseigner. Mais la principale distinction à connaitre est celle entre les produits frais et les produits impérissables. Ensuite, il y a des petites habitudes de consommation à mettre en place. Acheter peu de réserve si possible et classer les produits par ancienneté. De manière générale, le gaspillage est avant tout la conséquence de la consommation excessive ou d’une mauvaise gestion des stocks par les distributeurs.
Lire ici en intégralité les explications de Biba Magazine