Une vérification de plus pour la consommation réelle des véhicules. A partir du 20 mai 2023, « les consommations réelles seront désormais relevées et envoyées à la Commission Européenne, qui pourra les comparer avec les données d’homologation des constructeurs. Le système d’appel d’urgence embarqué dans les voitures sera lui aussi désormais contrôlé », nous apprend Automobile-Magazine.
L’idée est de s’attaquer au vieux débat concernant les différences entre les consommations homologuées et les consommations réelles. « L’arrivée du cycle d’homologation WLTP a permis d’être un peu plus proche de ce que les automobilistes observent dans la vraie vie par rapport à l'ancienne norme NEDC, mais les valeurs communiquées par les constructeurs restent tout de même particulièrement favorables dans la grande majorité des cas. Tout ça pourrait évoluer maintenant que le contrôle technique va collecter les données relatives à la consommation de carburant. Cela fait suite à la réglementation de la Commission européenne de mars 2021, car toutes les voitures mises en circulation depuis le 1er janvier 2021 conservent l’historique des consommations du véhicules », explique le site spécialisé.
Avec un nombre important de données enregistrées, les automobilistes pourront s’opposer à leur collecte. « Le principe du consentement est central dans la collecte de données, aussi les personnes qui ne souhaitent pas que les données de leurs voitures soient collectées peuvent s’y opposer, en amont du contrôle. Dans ce cas, l’organisme de contrôle technique est tenu de respecter les souhaits des propriétaires, et le refus est archivé avec une copie du procès-verbal. Mais il faudra remplir un formulaire détaillant les motifs du refus, ce qui sera beaucoup plus contraignant et long que d’accepter. Tous les véhicules immatriculés à partir du 1er janvier 2021 qui passent un contrôle techniques à partir du 20 mai 2023 sont concernés », explique Automobile Magazine.
L’idée est de s’attaquer au vieux débat concernant les différences entre les consommations homologuées et les consommations réelles. « L’arrivée du cycle d’homologation WLTP a permis d’être un peu plus proche de ce que les automobilistes observent dans la vraie vie par rapport à l'ancienne norme NEDC, mais les valeurs communiquées par les constructeurs restent tout de même particulièrement favorables dans la grande majorité des cas. Tout ça pourrait évoluer maintenant que le contrôle technique va collecter les données relatives à la consommation de carburant. Cela fait suite à la réglementation de la Commission européenne de mars 2021, car toutes les voitures mises en circulation depuis le 1er janvier 2021 conservent l’historique des consommations du véhicules », explique le site spécialisé.
Avec un nombre important de données enregistrées, les automobilistes pourront s’opposer à leur collecte. « Le principe du consentement est central dans la collecte de données, aussi les personnes qui ne souhaitent pas que les données de leurs voitures soient collectées peuvent s’y opposer, en amont du contrôle. Dans ce cas, l’organisme de contrôle technique est tenu de respecter les souhaits des propriétaires, et le refus est archivé avec une copie du procès-verbal. Mais il faudra remplir un formulaire détaillant les motifs du refus, ce qui sera beaucoup plus contraignant et long que d’accepter. Tous les véhicules immatriculés à partir du 1er janvier 2021 qui passent un contrôle techniques à partir du 20 mai 2023 sont concernés », explique Automobile Magazine.