Les arguments en faveur de cette protection l’ont emporté. « Les ministres des États, parties à la convention Ospar, ont désigné le 1er octobre une nouvelle aire marine protégée (AMP) dans le courant nord Atlantique du bassin maritime Evlanov, dite Naces. Cette désignation a été effectuée lors de la réunion de la commission annuelle de la convention à Cascais (Portugal). Cette AMP, qui couvrira 600 000 km2, vise à protéger une zone d'importance vitale pour les oiseaux marins » explique Actu Environnement .
C’est une victoire pour les défenseurs de la biodiversité qui veulent convaincre les États de la nécessité de voir dans les zones marines des refuges pour des espèces menacées. Et ce sont bien ces arguments qui l’ont emporté. « D'après les données de suivi, le site s'est avéré être une importante zone d'alimentation et de recherche de nourriture, utilisée à la fois par les oiseaux de mer qui se reproduisent sur les côtes de l'Atlantique Nord-Est, et par ceux qui migrent à travers le monde ou qui nichent dans d'autres parties du monde », a déclaré l’Ospar. Avec cette décision, les pays qui participent à la convention atteignent le taux de 10% de leur zone maritime protégées par le statut de AMP.
« Les États, parties à la convention, ont également adopté une nouvelle stratégie pour le milieu marin de l'Atlantique du Nord-Est d'ici à 2030. Elle comprend l'objectif d'atteindre 30 % de la zone maritime en aires protégées, ainsi que celui de réduire les déchets marins de 50 % d'ici à 2025 et de 75 % d'ici à 2030. Les ministres ont également adopté une recommandation visant à réduire la perte de granulés plastique dans le milieu marin grâce à des normes de prévention et des régimes de certification. Cette recommandation s'appuie sur des lignes directrices destinées aux parties contractantes et à l'industrie » précise Actu Envrionnement.
Lire en intégralité l’article du site Actu-Environnement
C’est une victoire pour les défenseurs de la biodiversité qui veulent convaincre les États de la nécessité de voir dans les zones marines des refuges pour des espèces menacées. Et ce sont bien ces arguments qui l’ont emporté. « D'après les données de suivi, le site s'est avéré être une importante zone d'alimentation et de recherche de nourriture, utilisée à la fois par les oiseaux de mer qui se reproduisent sur les côtes de l'Atlantique Nord-Est, et par ceux qui migrent à travers le monde ou qui nichent dans d'autres parties du monde », a déclaré l’Ospar. Avec cette décision, les pays qui participent à la convention atteignent le taux de 10% de leur zone maritime protégées par le statut de AMP.
« Les États, parties à la convention, ont également adopté une nouvelle stratégie pour le milieu marin de l'Atlantique du Nord-Est d'ici à 2030. Elle comprend l'objectif d'atteindre 30 % de la zone maritime en aires protégées, ainsi que celui de réduire les déchets marins de 50 % d'ici à 2025 et de 75 % d'ici à 2030. Les ministres ont également adopté une recommandation visant à réduire la perte de granulés plastique dans le milieu marin grâce à des normes de prévention et des régimes de certification. Cette recommandation s'appuie sur des lignes directrices destinées aux parties contractantes et à l'industrie » précise Actu Envrionnement.
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