« On entend dire de partout que nos modèles et nos chaînes de valeurs économiques et techno-industriels ont fait la preuve de leur incapacité, au vu des enjeux, à s’auto-réguler et se réformer de l’intérieur en profondeur ; et que dans l’état actuel des choses, notre maîtrise scientifique s’avère inopérante pour concevoir, mettre en œuvre, et organiser une parade à la hauteur des dangers, sans risques collatéraux majeurs » explique le spécialiste de la RSE Constant Calvo sur son blog et sur le site Le Cercle des Echos.
Dans un texte très pertinent, le co-fondateur du cabinet spécialisé Adhere RH, que RSE Magazine a cité à plusieurs reprises, montre que la question du réchauffement climatique donne une toute nouvelle ampleur à la question de la RSE. « Le changement climatique tire les entreprises vers le haut, il devient le maître du jeu, le point focal des décisions stratégiques. La RSE a cessé d’être une option. L’heure n’est plus aux hésitations ou atermoiements. La question n’est plus seulement de savoir si elle est une contrainte ou une opportunité, d’évaluer le retour d’investissement, de mesurer les avantages concurrentiels, ou de l’utilisation qu’on peut en faire afin de valoriser l’image et la marque employeur » continue-t-il.
Dans un texte très pertinent, le co-fondateur du cabinet spécialisé Adhere RH, que RSE Magazine a cité à plusieurs reprises, montre que la question du réchauffement climatique donne une toute nouvelle ampleur à la question de la RSE. « Le changement climatique tire les entreprises vers le haut, il devient le maître du jeu, le point focal des décisions stratégiques. La RSE a cessé d’être une option. L’heure n’est plus aux hésitations ou atermoiements. La question n’est plus seulement de savoir si elle est une contrainte ou une opportunité, d’évaluer le retour d’investissement, de mesurer les avantages concurrentiels, ou de l’utilisation qu’on peut en faire afin de valoriser l’image et la marque employeur » continue-t-il.
Déclic et opportunité
Alors que le sujet du climat est de plus en plus présent dans le débat public, il est évident que l’entreprise ne peut échapper à cette tendance générale. Ainsi, continue le spécialiste, « de plus en plus de fonds d’investissement se désinvestissent des énergies fossiles. Les agences de notations dont la responsabilité a été reconnue dans la crise financière de 2008 sont appelées à la vigilance, parce que ne prenant suffisamment en compte les risques liés au réchauffement climatique. »
Lire en intégralité la tribune de Constant Calvo sur Le Cercle des Echos
Lire en intégralité la tribune de Constant Calvo sur Le Cercle des Echos