5,5% des voitures neuves immatriculées en juillet étaient des électriques. Soit 9 967 exemplaires électriques sur les 178 981 annoncées par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Après un mois de juin qui avait été annoncé comme le début d’une nouvelle ère, on retrouve des niveaux absolument similaires à ceux d’avant le confinement. D’autant qu’en juin, quand la barre des 14 000 électriques avait été frôlée, c’était aussi l’effet global de la relance après le confinement. En effet, la proportion était légèrement au-dessus avec 5,8% d’électriques.
Signe qu’il y a bien un déclic qui n’a toujours pas lieu pour le grand public, les voitures électriques qui se vendent sont celles qui sont prévues pour une utilisation uniquement citadine. « S’il faudra attendre la rentrée et la publication du baromètre de l’Avere France pour connaitre les résultats des différents modèles, on sait d’ores et déjà que la Renault ZOE conserve sa première place. Avec 3834 immatriculations enregistrées, la citadine de Renault a représenté 38 % de l’ensemble des immatriculations du mois écoulé » rapporte Automobile Propre.
Malgré une prime record, des milliards d’euros investis par les constructeurs, le choc électrique n’a pas lieu et continue à interroger sur le fossé entre les discours et la demande des consommateurs. En revanche, les voitures thermiques qui consomment moins continuent à séduire. Et l’hybride, malgré des prix prohibitifs, garde son niveau de juin. « Avec 7000 exemplaires immatriculés, l’hybride rechargeable ne bat pas le record en volume observé au mois de juin (7265 immatriculations). Le taux de pénétration du segment est toutefois historique et atteint 3.9 % en juillet. C’est 0.8 point de mieux qu’au mois de juin » appuie le site spécialisé.
Seul point positif pour l’électrique, d’après l’AAA DATA, un croisement des courbes qui se confirme s’observent dans le luxe. Tesla vend mieux (4158 exemplaires) que Porsche (2476) sur la période janvier-juillet.
Signe qu’il y a bien un déclic qui n’a toujours pas lieu pour le grand public, les voitures électriques qui se vendent sont celles qui sont prévues pour une utilisation uniquement citadine. « S’il faudra attendre la rentrée et la publication du baromètre de l’Avere France pour connaitre les résultats des différents modèles, on sait d’ores et déjà que la Renault ZOE conserve sa première place. Avec 3834 immatriculations enregistrées, la citadine de Renault a représenté 38 % de l’ensemble des immatriculations du mois écoulé » rapporte Automobile Propre.
Malgré une prime record, des milliards d’euros investis par les constructeurs, le choc électrique n’a pas lieu et continue à interroger sur le fossé entre les discours et la demande des consommateurs. En revanche, les voitures thermiques qui consomment moins continuent à séduire. Et l’hybride, malgré des prix prohibitifs, garde son niveau de juin. « Avec 7000 exemplaires immatriculés, l’hybride rechargeable ne bat pas le record en volume observé au mois de juin (7265 immatriculations). Le taux de pénétration du segment est toutefois historique et atteint 3.9 % en juillet. C’est 0.8 point de mieux qu’au mois de juin » appuie le site spécialisé.
Seul point positif pour l’électrique, d’après l’AAA DATA, un croisement des courbes qui se confirme s’observent dans le luxe. Tesla vend mieux (4158 exemplaires) que Porsche (2476) sur la période janvier-juillet.