Est-ce que la promesse d’économie peut être la motivation que l’on attendait ? Rien n’est moins sûr puisque le calcul de chercheurs américains évalue le coût de catastrophes à venir qui pourrait être évité. L’article publié dans la revue spécialisée Nature et rédigé par des experts de l’Université de Stanford et le Bureau national de recherche économique, fait un travail sérieux mais de l’ordre de la prévision-fiction.
Leur travail n’en demeure pas moins intéressant parce qu’il tente d’évaluer les conséquences sur le long terme de l’éloignement des objectifs des Accords de Paris. Alors que l’administration Trump s’est retirée avec une vision à court termes des conséquences économiques d’efforts environnementaux, l’article montre qu’à terme, la facture sera salée. « Plus la température sera élevée, plus la fréquence d'événements climatiques extrêmes, qui ont généré une facture record aux États-Unis l'an dernier, serait grande. D'autres conséquences sont attendues, notamment, une diminution des rendements de l'agriculture et une dégradation de l'état de santé de la population mondiale » résume Le Figaro , qui relaie les conclusions des chercheurs.
« Au cours du dernier siècle, nous avons déjà enregistré une hausse de la température globale de 1°C, ainsi atteindre les objectifs ambitieux de l'accord de Paris ne sera pas facile ni peu coûteux. Et d'ajouter : Nous avons donc besoin d'avoir une bonne compréhension des bénéfices économiques attendus selon les différents objectifs » explique un des auteurs, Marshall Burke de Stanford.
C’est en suivant cette logique qu’ils ont estimé que d’ici 2100, si les objectifs de l’Accord de Paris de limiter à 1,5°C voire 2°C le réchauffement climatique, les économies au niveau mondial seraient très importantes. Ils avancent un coût de 20 000 milliards de dollars pour les catastrophes naturelles qui pourraient être évitées. « Pour atteindre ce résultat, les chercheurs ont fondé leurs prévisions sur la croissance économique dans 165 pays, liée à l'évolution de la température entre 1960 et 2010. Puis, ils ont utilisé des modèles climatiques pour leurs prévisions, estimées selon les différents niveaux de réchauffement anticipé » détaille le quotidien français.
Leur travail n’en demeure pas moins intéressant parce qu’il tente d’évaluer les conséquences sur le long terme de l’éloignement des objectifs des Accords de Paris. Alors que l’administration Trump s’est retirée avec une vision à court termes des conséquences économiques d’efforts environnementaux, l’article montre qu’à terme, la facture sera salée. « Plus la température sera élevée, plus la fréquence d'événements climatiques extrêmes, qui ont généré une facture record aux États-Unis l'an dernier, serait grande. D'autres conséquences sont attendues, notamment, une diminution des rendements de l'agriculture et une dégradation de l'état de santé de la population mondiale » résume Le Figaro , qui relaie les conclusions des chercheurs.
« Au cours du dernier siècle, nous avons déjà enregistré une hausse de la température globale de 1°C, ainsi atteindre les objectifs ambitieux de l'accord de Paris ne sera pas facile ni peu coûteux. Et d'ajouter : Nous avons donc besoin d'avoir une bonne compréhension des bénéfices économiques attendus selon les différents objectifs » explique un des auteurs, Marshall Burke de Stanford.
C’est en suivant cette logique qu’ils ont estimé que d’ici 2100, si les objectifs de l’Accord de Paris de limiter à 1,5°C voire 2°C le réchauffement climatique, les économies au niveau mondial seraient très importantes. Ils avancent un coût de 20 000 milliards de dollars pour les catastrophes naturelles qui pourraient être évitées. « Pour atteindre ce résultat, les chercheurs ont fondé leurs prévisions sur la croissance économique dans 165 pays, liée à l'évolution de la température entre 1960 et 2010. Puis, ils ont utilisé des modèles climatiques pour leurs prévisions, estimées selon les différents niveaux de réchauffement anticipé » détaille le quotidien français.