Source : Pixabay, image libre de droits.
Ségolène Royal Ségolène Royal lance une initiative de taille, en proposant aux foyers installés dans les territoires à énergie positive d’échanger de vieux radiateurs consommant beaucoup d’énergie contre un appareil plus performant et respectueux de l’environnement. La ministre propose également à ces foyers d’échanger leurs vieilles ampoules contre des ampoules LED (en anglais ‘light- emitting diode’) moins consommatrices d’énergie.
Un article en ligne du journal Les Echos présente l’initiative de la ministre de l’Ecologie en faveur des appareils les moins énergivores. Cette initiative concerne les « foyers installés dans les territoires à énergie positive. » Elle propose d’échanger « deux ampoules usagées contre LED neuve », ainsi que « vieux radiateur énergétivore contre nouvel équipement performant ».
Un article en ligne du journal Les Echos présente l’initiative de la ministre de l’Ecologie en faveur des appareils les moins énergivores. Cette initiative concerne les « foyers installés dans les territoires à énergie positive. » Elle propose d’échanger « deux ampoules usagées contre LED neuve », ainsi que « vieux radiateur énergétivore contre nouvel équipement performant ».
Pour une loi de transition énergétique populaire
L’initiative lancée par le ministère de l’Ecologie a pour objectif de rendre la loi sur la transition énergétique populaire, pour qu’elle « profite aussi directement aux gens ». L’article des Echos explique la genèse du projet, en précisant qu’il « est en réalité en gestation depuis des mois. En septembre 2014, lors des débats en commission sur le projet de loi de transition énergétique, la ministre de l’Energie avait déjà évoqué ce projet, avec une ambition encore plus importante. »
Après un arrêt du projet faute de « budget », la ministre a décidé de le reprendre, en ciblant principalement les « territoires à énergie positive ». L’article des Echos rappelle l’importante utilisation de l’énergie électrique du pays : « Aujourd’hui, 31 % des logements sont chauffés à l’électricité, selon l’Ademe. Une part bien supérieure aux voisins européens, héritage du parc nucléaire lancé dans les années 1970 et 1980, et qui induit une forte « thermosensibilité » de la production électrique. »
L’article ajoute : « l’hiver, dès que la température chute d’un degré par rapport aux normales saisonnières, 2.400 mégawatts de puissance supplémentaire sont nécessaires. Des pics de consommation qui ont imposé la mise en œuvre de mécanismes d’effacement de la consommation ou de renforcement des capacités de production. »
Après un arrêt du projet faute de « budget », la ministre a décidé de le reprendre, en ciblant principalement les « territoires à énergie positive ». L’article des Echos rappelle l’importante utilisation de l’énergie électrique du pays : « Aujourd’hui, 31 % des logements sont chauffés à l’électricité, selon l’Ademe. Une part bien supérieure aux voisins européens, héritage du parc nucléaire lancé dans les années 1970 et 1980, et qui induit une forte « thermosensibilité » de la production électrique. »
L’article ajoute : « l’hiver, dès que la température chute d’un degré par rapport aux normales saisonnières, 2.400 mégawatts de puissance supplémentaire sont nécessaires. Des pics de consommation qui ont imposé la mise en œuvre de mécanismes d’effacement de la consommation ou de renforcement des capacités de production. »