Mardi 11 juin, « L’Ascenseur » ouvre officiellement ses portes. Le premier ministre Edouard Philippe est attendu pour l’occasion. Pourtant cette initiative ne doit rien aux pouvoirs publics et est le fruit d’organisation engagées et financées par le secteur privé. « Un pari devenu réalité : le 11 juin, sera inauguré officiellement l’Ascenseur, immeuble dans lequel se sont regroupés, sur 2 300 m2 d’espaces privés et collectifs, 20 acteurs associatifs et entrepreneurs sociaux agissant en faveur d’une plus grande égalité des chances. Ce projet, cocréé par Mozaïk RH et Article 1 (fusion de Passeport Avenir et Frateli) a pu voir le jour grâce au soutien financier et au mécénat de compétences du groupe BNP Paribas, historiquement engagé sur ces enjeux sociétaux » explique Said Hamouche, le fondateur de Mozaïk RH.
Ce cabinet de recrutement spécialisé sur l’intégration professionnelles des travailleurs de banlieue se félicite de voir ce projet aboutir. D’autant que l’immeuble en question est situé au cœur de Paris dans un bâtiment haussmannien, coupant avec les clichés des bureaux en banlieue, trop loin des cœurs de décision des milieux d’affaires. « Notre ambition : augmenter l’impact social de nos actions respectives et, pour cela, proposer un parcours unique aux bénéficiaires, renouer tous les maillons de la chaîne de valeur de l’accompagnement des jeunes – depuis la petite enfance jusqu’à l’âge adulte, développer plus de synergies et stimuler l’innovation sociale. Car nous le constatons chaque jour : si la République accueille tous ses enfants dans l’enseignement public, nous savons combien cette égalité des chances devient rapidement un parcours du combattant pour un nombre considérable de jeunes de notre pays » poursuit le chasseur de tête engagé. Une fois de plus la force de l’engagement du secteur privé montre son potentiel. D’autant que lorsqu’il s’agit d’argent issus d’entreprises ou de particuliers, le délai de réalisation est bien plus court que lorsqu’il s’agit d’un projet subventionné.
Ce cabinet de recrutement spécialisé sur l’intégration professionnelles des travailleurs de banlieue se félicite de voir ce projet aboutir. D’autant que l’immeuble en question est situé au cœur de Paris dans un bâtiment haussmannien, coupant avec les clichés des bureaux en banlieue, trop loin des cœurs de décision des milieux d’affaires. « Notre ambition : augmenter l’impact social de nos actions respectives et, pour cela, proposer un parcours unique aux bénéficiaires, renouer tous les maillons de la chaîne de valeur de l’accompagnement des jeunes – depuis la petite enfance jusqu’à l’âge adulte, développer plus de synergies et stimuler l’innovation sociale. Car nous le constatons chaque jour : si la République accueille tous ses enfants dans l’enseignement public, nous savons combien cette égalité des chances devient rapidement un parcours du combattant pour un nombre considérable de jeunes de notre pays » poursuit le chasseur de tête engagé. Une fois de plus la force de l’engagement du secteur privé montre son potentiel. D’autant que lorsqu’il s’agit d’argent issus d’entreprises ou de particuliers, le délai de réalisation est bien plus court que lorsqu’il s’agit d’un projet subventionné.