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Mardi 6 juillet, les Républicains ont lancé leur calendrier pour la désignation d’un candidat à la présidentielle. Et malgré les appels du pieds ou appels directs, Xavier Betrand continue à affirmer qu’il n’est pas concerné. « C'est un choix de « cohérence ». Invité lors du JT de TF1, le président des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a répété sa volonté de ne pas être candidat à la primaire de la droite. « Je suis candidat à l'élection présidentielle, je suis candidat pour être président de la République », a-t-il asséné. Le casse-tête se poursuit. Réunis en bureau politique ce mardi, Les Républicains ont mis l'accent sur le collectif et acté leur calendrier pour désigner leur futur candidat. Dans une tribune publiée dans Le Figaro , Valérie Pécresse (ex-LR), Laurent Wauquiez (LR), Bruno Retailleau (LR) et Hervé Morin (Les Centristes) ont aussi réclamé l'organisation d'une primaire. Mais rien n'y fait. « En cohérence, je ne suis pas candidat à une primaire », a déclaré à nouveau Xavier Bertrand » compile le quotidien de droite.
Pour appuyer sa démonstration, l’homme politique revient sur la dernière présidentielles et la débâcle de la droite : « Après la déroute de Fillon, la droite regrette les effets pervers de la primaire, elle a été source de divisions, et la fois dernière, tous ceux qui sont passés par une primaire ont été éliminés lors du premier tour de l'élection. »
D’un point de vue stratégique, il est assez évident que participer à la primaire est une prise de risque pour Bertrand. Lui qui se considère déjà en campagne officiellement depuis sa victoire aux régionales en juin. Du côté des Républicains, l’organisation d’une primaire et la désignation d’un candidat est risquée avec déjà un candidat déclaré à droite. Un score du même ordre que celui des Européennes serait un coup dur de mauvais augure pour les législatives. D’autant que en l’état actuel des choses, un candidat désigné pour le parti aurait surtout des arguments pour faire perdre Xavier Bertrand.
Pour appuyer sa démonstration, l’homme politique revient sur la dernière présidentielles et la débâcle de la droite : « Après la déroute de Fillon, la droite regrette les effets pervers de la primaire, elle a été source de divisions, et la fois dernière, tous ceux qui sont passés par une primaire ont été éliminés lors du premier tour de l'élection. »
D’un point de vue stratégique, il est assez évident que participer à la primaire est une prise de risque pour Bertrand. Lui qui se considère déjà en campagne officiellement depuis sa victoire aux régionales en juin. Du côté des Républicains, l’organisation d’une primaire et la désignation d’un candidat est risquée avec déjà un candidat déclaré à droite. Un score du même ordre que celui des Européennes serait un coup dur de mauvais augure pour les législatives. D’autant que en l’état actuel des choses, un candidat désigné pour le parti aurait surtout des arguments pour faire perdre Xavier Bertrand.
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