Stratégiquement, Volkswagen n’y voit pas d’intérêt. Dans une interview à la presse italienne, le président du directoire du groupe allemand a assuré qu’un rapprochement de Fiat Chrysler Automobiles (FCA) n’était pas envisagé. « Prié de dire si le groupe était intéressé par les marques premium de FCA, comme Alfa Romeo ou Maserati, Herbert Diess a déclaré que Volkswagen "possédait déjà des marques de luxe". Parmi les marques faisant partie du groupe Volkswagen figurent ainsi Audi, Bentley, Porsche ou encore Lamborghini. Herbert Diess ajoute s'attendre à la poursuite de la consolidation du secteur automobile alors que la presse s'est fait écho récemment d'un intérêt des constructeurs français pour FCA. Le Financial Times a rapporté mercredi que Renault voulait relancer d'ici 12 mois les discussions sur une fusion avec Nissan avant de faire une offre sur Fiat Chrysler Automobiles » rapporte Boursorama, s’appuyant sur les informations de l’agence Reuters .
Le président de Volkswagen a expliqué que pour les prochains mois, l’objectif était de développer le groupe en interne et non de se lancer dans une nouvelle aventure. Outre Renaut – sachant que Nissan a assuré de pas être au courant de cette option – c’est PSA qui a multiplié les signaux en direction de FSA. « Le Wall Street Journal a de son côté écrit vendredi que PSA avait approché Fiat Chrysler Automobile cette année pour défendre l'idée d'un rapprochement entre les deux groupes automobiles, projet à nouveau repoussé par le groupe italo-américain » lit-on plus loin.
Les prochains mois seront clés dans ce dossier mais il semble clair que l’issu favorisera une fois de plus la concentration d’un secteur qui suit déjà cette tendance depuis des années. Même Volkswagen, dont le catalogue et la force industrielle ne justifie pas de partenariat stratégique, s’apprête à conclure un pacte avec Ford. « Au sujet des discussions de Volkswagen avec Ford, Hubert Diess déclare que leur coopération serait essentiellement commerciale, sans prises de participations capitalistiques. Volkswagen et Ford se sont engagés en janvier à réfléchir à une collaboration sur le développement de véhicules électriques et autonomes, mais les deux ne sont toujours pas parvenus à s'entendre sur les modalités de cette alliance, ont dit le mois dernier à Reuters des sources proches du dossier » rappelle l’article.
Le président de Volkswagen a expliqué que pour les prochains mois, l’objectif était de développer le groupe en interne et non de se lancer dans une nouvelle aventure. Outre Renaut – sachant que Nissan a assuré de pas être au courant de cette option – c’est PSA qui a multiplié les signaux en direction de FSA. « Le Wall Street Journal a de son côté écrit vendredi que PSA avait approché Fiat Chrysler Automobile cette année pour défendre l'idée d'un rapprochement entre les deux groupes automobiles, projet à nouveau repoussé par le groupe italo-américain » lit-on plus loin.
Les prochains mois seront clés dans ce dossier mais il semble clair que l’issu favorisera une fois de plus la concentration d’un secteur qui suit déjà cette tendance depuis des années. Même Volkswagen, dont le catalogue et la force industrielle ne justifie pas de partenariat stratégique, s’apprête à conclure un pacte avec Ford. « Au sujet des discussions de Volkswagen avec Ford, Hubert Diess déclare que leur coopération serait essentiellement commerciale, sans prises de participations capitalistiques. Volkswagen et Ford se sont engagés en janvier à réfléchir à une collaboration sur le développement de véhicules électriques et autonomes, mais les deux ne sont toujours pas parvenus à s'entendre sur les modalités de cette alliance, ont dit le mois dernier à Reuters des sources proches du dossier » rappelle l’article.