Rien de chiffré, rien de concret mais c’est quand même un événement. Les autorités chinoises ont en effet annoncé qu’elles préparaient un calendrier pour aller vers l’interdiction totale de la production et de la vente de voitures qui fonctionnent avec des carburants fossiles. Une déclaration qui semble montrer que le pays veut suivre le mouvement initié par la France et le Royaume-Uni qui ont annoncé vouloir interdire diesel et essence d’ici 2040.
« Le géant asiatique assure y réfléchir sérieusement: des "études" sur le sujet sont entamées et le ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information "va établir un calendrier en lien avec les administrations concernées", a indiqué ce week-end le vice-ministre de l'Industrie Xin Guobin.Sont essentiellement concernées les voitures à essence, le diesel restant confidentiel en Chine » précise le site du magazine Le Point .
La Chine est un symbole et surtout un levier de choix dans la lutte contre la pollution et pour la transition énergétique. Sur plus de vingt-cinq millions de voitures vendues en 2016 en Chine, seulement 500 000 étaient électriques ou hybrides. Un marché énorme mais pas seulement puisque le pays accueille les plus grosses usines de plusieurs grands constructeurs automobiles. Une interdiction de la production et de la vente serait une coup de fouet extraordinaire sur le secteur alors que la Chine est la cible prioritaire et le marché en explosion. « Soucieuse de lutter contre l'âcre pollution atmosphérique, la Chine avait mis en place d'attractives primes subventionnant les achats de véhicules verts.Mais le régime communiste a entrepris de sabrer les incitations pour les consommateurs, et veut désormais forcer la main aux constructeurs: il a introduit en juin un projet de règlement pour leur imposer dès 2018 un quota de "voitures propres" » explique l’Agence France presse, citée par Le Point.fr.
« Le géant asiatique assure y réfléchir sérieusement: des "études" sur le sujet sont entamées et le ministère de l'Industrie et des Technologies de l'information "va établir un calendrier en lien avec les administrations concernées", a indiqué ce week-end le vice-ministre de l'Industrie Xin Guobin.Sont essentiellement concernées les voitures à essence, le diesel restant confidentiel en Chine » précise le site du magazine Le Point .
La Chine est un symbole et surtout un levier de choix dans la lutte contre la pollution et pour la transition énergétique. Sur plus de vingt-cinq millions de voitures vendues en 2016 en Chine, seulement 500 000 étaient électriques ou hybrides. Un marché énorme mais pas seulement puisque le pays accueille les plus grosses usines de plusieurs grands constructeurs automobiles. Une interdiction de la production et de la vente serait une coup de fouet extraordinaire sur le secteur alors que la Chine est la cible prioritaire et le marché en explosion. « Soucieuse de lutter contre l'âcre pollution atmosphérique, la Chine avait mis en place d'attractives primes subventionnant les achats de véhicules verts.Mais le régime communiste a entrepris de sabrer les incitations pour les consommateurs, et veut désormais forcer la main aux constructeurs: il a introduit en juin un projet de règlement pour leur imposer dès 2018 un quota de "voitures propres" » explique l’Agence France presse, citée par Le Point.fr.