L’impact environnemental des voitures électriques est largement connu du grand public. Mais alors que l’industrie semble mure pour engager le virage de la transition vers ces motorisations, aucune solution durable n’apparait. Dans un article très complet, la rubrique Planète de Futura Sciences résume les enjeux de cette question. Après avoir rappelé que les voitures électriques émettent aussi du CO2, le site spécialisé se penche sur l’épineux problème des batteries. « N’oublions pas en effet que, pour évaluer la véritable empreinte écologique de la voiture électrique, il faut s’intéresser à son cycle de vie dans sa globalité. En la matière, les batteries lithium-ion embarquées dans ces véhicules réputés verts semblent coûter cher à l’environnement. D’abord parce que les métaux rares qui la composent sont extraits dans des pays qui font encore trop peu de cas de nos considérations environnementales et sociétales. Ensuite, parce que les batteries lithium-ion sont aujourd’hui majoritairement produites dans des pays présentant des mix énergétiques peu vertueux » explique l’article.
Et si la principale solution devrait être du côté du recyclage, à l’heure actuelle aucune offre convaincante n’est encore envisageable « Même s’il semble techniquement envisageable, il reste économiquement peu intéressant. Du moins tant que le nombre de batteries concernées est relativement faible. Mais, dans les années à venir, avec l’essor du marché, la filière de recyclage devrait naturellement s’organiser » avance Futura Sciences. Et d’ajouter que certaines astuces permettent de limiter les dégâts « les constructeurs travaillent aussi à offrir une seconde vie à ces batteries. Une fois leurs performances passées sous le seuil acceptable pour l’automobile, elles peuvent en effet encore faire office de solution de stockage stationnaire des énergies renouvelables. C’est d’ores et déjà le cas à Amsterdam (Pays-Bas), au stade Johan Cruyff ArenA où plusieurs dizaines de batteries Nissan Leaf ont été reconverties en système de stockage d’électricité de secours alimenté par des panneaux solaires. Un moyen assurément, de rendre plus écologiques les voitures électriques. »
Lire en intégralité l’article sur le site Futura Science s
Et si la principale solution devrait être du côté du recyclage, à l’heure actuelle aucune offre convaincante n’est encore envisageable « Même s’il semble techniquement envisageable, il reste économiquement peu intéressant. Du moins tant que le nombre de batteries concernées est relativement faible. Mais, dans les années à venir, avec l’essor du marché, la filière de recyclage devrait naturellement s’organiser » avance Futura Sciences. Et d’ajouter que certaines astuces permettent de limiter les dégâts « les constructeurs travaillent aussi à offrir une seconde vie à ces batteries. Une fois leurs performances passées sous le seuil acceptable pour l’automobile, elles peuvent en effet encore faire office de solution de stockage stationnaire des énergies renouvelables. C’est d’ores et déjà le cas à Amsterdam (Pays-Bas), au stade Johan Cruyff ArenA où plusieurs dizaines de batteries Nissan Leaf ont été reconverties en système de stockage d’électricité de secours alimenté par des panneaux solaires. Un moyen assurément, de rendre plus écologiques les voitures électriques. »
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