Depuis plusieurs années, des observations très ponctuelles d'individus apparemment isolés ont été remontées au cours des enquêtes du réseau Ongulés sauvages (réseau ONCFS-FNC-FDC) mais récemment sa présence à l'état sauvage a été confirmée par la pose de pièges-photos et l'observation directe d'animaux.
L'espèce, discrète, a été détectée dans les forêts contigües d'Indre-et-Loire, du Loir-et-Cher et de l'Indre, sans qu'on en connaisse les effectifs à ce jour. En toute vraisemblance, il s'agit d'animaux échappés d'un enclos.
Au Royaume-Uni, dans un contexte similaire et à partir de quelques individus, cette espèce a envahi le pays où elle provoque des dégâts sur la végétation et engendre de nombreuses collisions routières. Au regard de l'expérience britannique et sur la base d'une analyse de risque, les Etats membres européens ont décidé de l'inscrire en 2016 sur la liste des espèces exotiques préoccupantes pour l'Union européenne, demandant la prise de mesures préventives à son expansion et en restreignant sa captivité aux seuls zoos habilités.
La délégation Centre-Val-de-Loire et Ile-de-France en lien avec la Direction de la Recherche et de l'Expertise mène actuellement une évaluation plus précise de sa répartition en vue d'apporter des éléments techniques pour son retrait complet du milieu naturel.
Particularité de cette espèce, les femelles n'ont pas de période de reproduction fixe et redeviennent réceptives quelques jours après la mise-bas. Une production de 3 à 4 jeunes tous les 2 ans est un atout majeur de son dynamisme.
L'espèce, discrète, a été détectée dans les forêts contigües d'Indre-et-Loire, du Loir-et-Cher et de l'Indre, sans qu'on en connaisse les effectifs à ce jour. En toute vraisemblance, il s'agit d'animaux échappés d'un enclos.
Au Royaume-Uni, dans un contexte similaire et à partir de quelques individus, cette espèce a envahi le pays où elle provoque des dégâts sur la végétation et engendre de nombreuses collisions routières. Au regard de l'expérience britannique et sur la base d'une analyse de risque, les Etats membres européens ont décidé de l'inscrire en 2016 sur la liste des espèces exotiques préoccupantes pour l'Union européenne, demandant la prise de mesures préventives à son expansion et en restreignant sa captivité aux seuls zoos habilités.
La délégation Centre-Val-de-Loire et Ile-de-France en lien avec la Direction de la Recherche et de l'Expertise mène actuellement une évaluation plus précise de sa répartition en vue d'apporter des éléments techniques pour son retrait complet du milieu naturel.
Particularité de cette espèce, les femelles n'ont pas de période de reproduction fixe et redeviennent réceptives quelques jours après la mise-bas. Une production de 3 à 4 jeunes tous les 2 ans est un atout majeur de son dynamisme.