La rivière de l'Odet s'est teintée de jaune mardi, avec des milliers de particules de beurre à sa surface. Cette anomalie a été remarquée en matinée, par un groupe de promeneurs, à Quimper.
Un article en ligne du journal Le Télégramme explique que les pompiers, alertés « vers 10H30, ont réalisé un premier prélèvement dans le secteur de la préfecture, en centre-ville. Avant de remonter la rivière sur plusieurs centaines de mètres, jusqu'à la buse d'où s'écoulait le beurre. Une évacuation d'eaux pluviales, selon la direction de l'usine Candia, et qui a aussitôt été fermée par l'industriel. »
Daniel Le Bigot. Le conseiller municipal (EELV), constate que la rivière était « couverte » de beurre.
Selon Le Télégramme, « il estime la pollution à plusieurs mètres cubes de matière organique, sans la banaliser. » Le conseiller municipal affirme ainsi : « Ce ne sont pas des produits chimiques, mais la matière organique pompe l'oxygène des poissons ».
Par conséquent, le site de Candia « qui pompe de l'eau dans l'Odet en amont pour refroidir ses installations de déshydratation du lait, indiquait hier que seules les eaux de ruissellement des toitures et des parkings étaient normalement rejetées par l'émissaire. »
Un article en ligne du journal Le Télégramme explique que les pompiers, alertés « vers 10H30, ont réalisé un premier prélèvement dans le secteur de la préfecture, en centre-ville. Avant de remonter la rivière sur plusieurs centaines de mètres, jusqu'à la buse d'où s'écoulait le beurre. Une évacuation d'eaux pluviales, selon la direction de l'usine Candia, et qui a aussitôt été fermée par l'industriel. »
Daniel Le Bigot. Le conseiller municipal (EELV), constate que la rivière était « couverte » de beurre.
Selon Le Télégramme, « il estime la pollution à plusieurs mètres cubes de matière organique, sans la banaliser. » Le conseiller municipal affirme ainsi : « Ce ne sont pas des produits chimiques, mais la matière organique pompe l'oxygène des poissons ».
Par conséquent, le site de Candia « qui pompe de l'eau dans l'Odet en amont pour refroidir ses installations de déshydratation du lait, indiquait hier que seules les eaux de ruissellement des toitures et des parkings étaient normalement rejetées par l'émissaire. »
Un diagnostic interne chez Candia
L’article ajoute que « l'unité de fabrication de beurre a lancé un diagnostic interne de ses installations, avançant l'hypothèse d'une rupture de canalisation. »
La direction de l’entreprise a indiqué qu’« une caméra va inspecter l'ensemble du réseau d'évacuation. On saura ce qu'il s'est passé au plus tard mardi », avec le constat d’une pollution à « une dizaine de kilos » de beurre.
Selon l’article, « elle expliquait ne pas avoir connaissance d'un premier incident du même ordre, survenu en décembre, et photographié par un riverain. »
Par ailleurs, « la police s'est déplacée sur les lieux pour constater l'origine de la pollution. Aucune plainte n'avait été déposée, en fin d'après-midi. »
Lire l'intégralité de l'article du Télégramme ici.
La direction de l’entreprise a indiqué qu’« une caméra va inspecter l'ensemble du réseau d'évacuation. On saura ce qu'il s'est passé au plus tard mardi », avec le constat d’une pollution à « une dizaine de kilos » de beurre.
Selon l’article, « elle expliquait ne pas avoir connaissance d'un premier incident du même ordre, survenu en décembre, et photographié par un riverain. »
Par ailleurs, « la police s'est déplacée sur les lieux pour constater l'origine de la pollution. Aucune plainte n'avait été déposée, en fin d'après-midi. »
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