Un article en ligne du journal Le Figaro explique que « les polluants seraient-ils tout aussi néfastes pour notre peau qu'ils ne le sont pour le reste de notre organisme », ajoutant qu’aujourd’hui, « aucune réponse tranchée ne peut pour le moment être formulée car les études - et les spécialistes - manquent. »
Une peau qui s’épuise
Ainsi, l’article explique que « les effets des principaux polluants sur la peau sont assez mal documentés. Ils sont en outre d'autant plus difficiles à recenser qu'un polluant est rarement isolé et qu'ils varient selon la dose et la durée d'exposition, les conditions météorologiques, les prédispositions et le mode de vie de chacun. »
Le Pr Laurent Misery, chef du service dermatologie au CHU de Brest et spécialiste des peaux sensibles, assure : « Le seul fait connu avec certitude est que la pollution accélère le vieillissement cutané. Ce sont surtout les microparticules qui sont nocives. Mais toutes les autres substances pourraient aussi avoir des effets. »
En outre, l’article du Figaro souligne qu’une « forte concentration d'ozone entraîne une chute des anti-oxydants naturels de l'épiderme (vitamines C et E notamment) et affaiblit ainsi la barrière cutanée naturelle constituée de lipides. »
De fait, « la peau ne parvient plus à remplir son rôle de bouclier contre les agressions extérieures : elle s'épuise. »
Le Pr Lurent Misery précise : « De même, les interactions des particules avec les rayons ultraviolets sont loin d'être négligeables, en favorisant l'apparition de radicaux libres, des molécules elles-mêmes à l'origine de l'accélération du vieillissement cutané, poursuit le spécialiste. Les effets des polluants seraient ainsi amplifiés par les UVA, par effet synergique. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Le Pr Laurent Misery, chef du service dermatologie au CHU de Brest et spécialiste des peaux sensibles, assure : « Le seul fait connu avec certitude est que la pollution accélère le vieillissement cutané. Ce sont surtout les microparticules qui sont nocives. Mais toutes les autres substances pourraient aussi avoir des effets. »
En outre, l’article du Figaro souligne qu’une « forte concentration d'ozone entraîne une chute des anti-oxydants naturels de l'épiderme (vitamines C et E notamment) et affaiblit ainsi la barrière cutanée naturelle constituée de lipides. »
De fait, « la peau ne parvient plus à remplir son rôle de bouclier contre les agressions extérieures : elle s'épuise. »
Le Pr Lurent Misery précise : « De même, les interactions des particules avec les rayons ultraviolets sont loin d'être négligeables, en favorisant l'apparition de radicaux libres, des molécules elles-mêmes à l'origine de l'accélération du vieillissement cutané, poursuit le spécialiste. Les effets des polluants seraient ainsi amplifiés par les UVA, par effet synergique. »
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