Cette dernière a affirmé que « les cotisations patronales ne sont désormais plus que de 10% du montant du salaire brut pour un salaire au Smic contre 20% en 2007 et 2012 en prenant en compte tous les effets du CICE et du pacte du responsabilité. »
Un article en ligne du journal Huffington Pos t explique que selon Valérie Rabault, « désormais un salarié français rémunéré au Smic revient à son employeur à 1609 euros par mois. »
L’article ajoute que selon ces calculs basés sur une note du ministère des Finances, « s'il était Polonais et payé en France au Smic avec des cotisations sociale payées en Pologne, le coût serait pour son employeur de 1756 euros. En Roumanie il serait de 1619 euros, en Espagne de 1788 euros et au Portugal de 1697 euros. »
Un article en ligne du journal Huffington Pos t explique que selon Valérie Rabault, « désormais un salarié français rémunéré au Smic revient à son employeur à 1609 euros par mois. »
L’article ajoute que selon ces calculs basés sur une note du ministère des Finances, « s'il était Polonais et payé en France au Smic avec des cotisations sociale payées en Pologne, le coût serait pour son employeur de 1756 euros. En Roumanie il serait de 1619 euros, en Espagne de 1788 euros et au Portugal de 1697 euros. »
Etre travailleur détaché en France
L’article de l’Huffington Post souligne que « la Pologne est le principal pays d'origine des salariés détachés en France, avec 46.816 travailleurs. Suivent le Portugal (44.456), l'Espagne (35.231) et la Roumanie (30.594). »
Il ajoute que « Manuel Valls avait menacé de ne plus appliquer la directive européenne sur les travailleurs détachés, si la France n’obtient pas gain de cause à Bruxelles sur sa demande d'un alignement ‘par le haut’ des cotisations sociales versées afin de lutter contre le dumping social. »
En réalité, le détachement et encadré par une directive européenne de 1996 et « permet à une entreprise européenne d'envoyer temporairement ses salariés en mission dans d'autres pays de l'UE, en n'appliquant que le noyau dur de sa réglementation (Smic, conditions de travail) tout en continuant de payer les cotisations sociales dans le pays d'origine. »
Cependant, « le système fait l'objet de nombreux détournements: non-déclaration, dépassement des durées maximales de travail, hébergement indigne, etc. »
L’article précise que « là où les travailleurs détachés touchent le Smic, les salariés français sont parfois mieux rémunérés. »
Lire l’intégralité de l’article du Huffington Post ici.
Il ajoute que « Manuel Valls avait menacé de ne plus appliquer la directive européenne sur les travailleurs détachés, si la France n’obtient pas gain de cause à Bruxelles sur sa demande d'un alignement ‘par le haut’ des cotisations sociales versées afin de lutter contre le dumping social. »
En réalité, le détachement et encadré par une directive européenne de 1996 et « permet à une entreprise européenne d'envoyer temporairement ses salariés en mission dans d'autres pays de l'UE, en n'appliquant que le noyau dur de sa réglementation (Smic, conditions de travail) tout en continuant de payer les cotisations sociales dans le pays d'origine. »
Cependant, « le système fait l'objet de nombreux détournements: non-déclaration, dépassement des durées maximales de travail, hébergement indigne, etc. »
L’article précise que « là où les travailleurs détachés touchent le Smic, les salariés français sont parfois mieux rémunérés. »
Lire l’intégralité de l’article du Huffington Post ici.