Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du site www.francetvinfo.fr, qui illustre un reportage vidéo, explique ainsi que « les pouvoirs publics ont lancé une opération pour réduire les émissions à effet de serre des éleveurs. »
Car en France, « 10% de ces émissions sont dues aux vaches. En Bourgogne, des éleveurs cherchent des solutions pour y remédier. » Et « l'exploitation de Marie-Jo Beauchamp est représentative de l'élevage dans la région : extensif et fondé sur l'herbe. Une centaine de Charolaises et leurs petits arpentent 150 hectares de pré, mais par le simple fait de brouter, ces vaches participent au réchauffement climatique. »
Car en France, « 10% de ces émissions sont dues aux vaches. En Bourgogne, des éleveurs cherchent des solutions pour y remédier. » Et « l'exploitation de Marie-Jo Beauchamp est représentative de l'élevage dans la région : extensif et fondé sur l'herbe. Une centaine de Charolaises et leurs petits arpentent 150 hectares de pré, mais par le simple fait de brouter, ces vaches participent au réchauffement climatique. »
« Un diagnostic environnemental »
L’article explique que « pour comprendre le phénomène, Marie-Jo s'est portée candidate à un diagnostic environnemental de sa ferme. Objectif : réduire l'empreinte carbone. Car si les vaches émettent des gaz à effet de serre, une partie de ces émissions est récupérée par la végétation qui stoppe naturellement ce carbone. »
Ainsi, son exploitation « produit 160 tonnes de gaz à effet de serre chaque année, les prairies en récupèrent la moitié. Mais il y a d'autres leviers pour améliorer ce bilan carbone. »
Jean-Baptiste Dollé, institut de l'élevage, précise : « La part d'herbe est déjà très importante, on a 80% d'herbe dans la ration, on peut toujours l'augmenter, on peut avoir des prairies temporaires qui soient de durée plus importante pour augmenter le stockage de carbone. »
Par conséquent, « les agriculteurs recherchent de nouvelles techniques. En France, mais aussi en Irlande et en Italie, 6 000 exploitations bovines vont participer à ce programme : réaliser un diagnostic environnemental et adopter de nouvelles pratiques. »
Ainsi, son exploitation « produit 160 tonnes de gaz à effet de serre chaque année, les prairies en récupèrent la moitié. Mais il y a d'autres leviers pour améliorer ce bilan carbone. »
Jean-Baptiste Dollé, institut de l'élevage, précise : « La part d'herbe est déjà très importante, on a 80% d'herbe dans la ration, on peut toujours l'augmenter, on peut avoir des prairies temporaires qui soient de durée plus importante pour augmenter le stockage de carbone. »
Par conséquent, « les agriculteurs recherchent de nouvelles techniques. En France, mais aussi en Irlande et en Italie, 6 000 exploitations bovines vont participer à ce programme : réaliser un diagnostic environnemental et adopter de nouvelles pratiques. »
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