L’obsolescence programmée est interdite et l’accusation est bien plus qu’une critique. Raison pour laquelle, Nitendo devrait prendre très au sérieux la remarque de l’UFC Que Choisir concernant les manettes de sa dernière console. L’association et magazine de défense des consommateurs a observé que les manettes de la Nintendo Switch s’abimaient très rapidement, souvent de la même façon et que le service après-vente en prévoyait pas de réparation.
L’accusation est loin d’être légère, d’autant que de nombreux utilisateurs soulignent ce qu’officialise UFC Que Choisir.
Dans une alerte aux consommateurs, l’association explique qu’elle a été saisie par des joueurs qui ont remarqué que les « Joy-Con » - nom de la manette – s’abimaient par le joystick souvent quelques mois après l’achat. « Ce dysfonctionnement, le « Joy-Con Drift », se manifeste notamment dans les phases de jeu : alors que le joystick est en position neutre, il envoie une commande de direction, un « mouvement fantôme », comme l’explique un article de jeuxvideo.com. Concrètement, un personnage se déplace tout seul dans un sens ou la caméra tourne sans raison.Un défaut de fabrication que Nintendo « ne peut ignorer compte tenu de la récurrence de cette panne », dénonce l’association. Le dysfonctionnement touchait en effet déjà la Nintendo Switch de 2017 et certains modèles de Switch Lite – console sortie en septembre 2019 – en souffrent déjà » rapporte L’Union.
L’accusation d’obsolescence programmée devient très sérieuse parce que la réaction de Nintendo face au problème n’est pas du tout à la hauteur des enjeux écologiques. Une fois la garantie dépassée, faire réparer la manette est loin d’être automatique. « Lorsqu’un joueur renvoie sa manette défectueuse au fabricant, ce dernier lui propose son remplacement par une manette neuve moyennant 45 €. Trois choix s’offrent alors au joueur : accepter, se faire renvoyer sa manette défectueuse moyennant 15 €, ou laisser Nintendo la détruire » indique le journal local. L’UFC Que choisir met donc en garde les consommateurs et invite vivement le groupe japonais à réagir, sans quoi une démarche judiciaire pourrait être engagée.
L’accusation est loin d’être légère, d’autant que de nombreux utilisateurs soulignent ce qu’officialise UFC Que Choisir.
Dans une alerte aux consommateurs, l’association explique qu’elle a été saisie par des joueurs qui ont remarqué que les « Joy-Con » - nom de la manette – s’abimaient par le joystick souvent quelques mois après l’achat. « Ce dysfonctionnement, le « Joy-Con Drift », se manifeste notamment dans les phases de jeu : alors que le joystick est en position neutre, il envoie une commande de direction, un « mouvement fantôme », comme l’explique un article de jeuxvideo.com. Concrètement, un personnage se déplace tout seul dans un sens ou la caméra tourne sans raison.Un défaut de fabrication que Nintendo « ne peut ignorer compte tenu de la récurrence de cette panne », dénonce l’association. Le dysfonctionnement touchait en effet déjà la Nintendo Switch de 2017 et certains modèles de Switch Lite – console sortie en septembre 2019 – en souffrent déjà » rapporte L’Union.
L’accusation d’obsolescence programmée devient très sérieuse parce que la réaction de Nintendo face au problème n’est pas du tout à la hauteur des enjeux écologiques. Une fois la garantie dépassée, faire réparer la manette est loin d’être automatique. « Lorsqu’un joueur renvoie sa manette défectueuse au fabricant, ce dernier lui propose son remplacement par une manette neuve moyennant 45 €. Trois choix s’offrent alors au joueur : accepter, se faire renvoyer sa manette défectueuse moyennant 15 €, ou laisser Nintendo la détruire » indique le journal local. L’UFC Que choisir met donc en garde les consommateurs et invite vivement le groupe japonais à réagir, sans quoi une démarche judiciaire pourrait être engagée.