Le 26 février la CFE-CGC, qui s’apprête à changer de nom, publie un communiqué en réaction au dernier Conseil national de la transition écologique (CNTE). Le syndicat des cadres salue « la volonté du gouvernement de mettre la question des transports au cœur de la prochaine conférence environnementale. »
Le communiqué affirme en effet qu’il « est grand temps » d’agir sur les transport pour atteindre les objectifs fixés dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Le communiqué affirme en effet qu’il « est grand temps » d’agir sur les transport pour atteindre les objectifs fixés dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Le transport, 26% des émissions de GES
« La CFE-CGC est convaincue que la question du transport est au cœur de la transition écologique. Ce secteur représente 26 % des émissions de GES sur le territoire national, 32 % de la consommation finale d’énergie et 70 % de la consommation française de pétrole pour des usages énergétiques » continue le texte.
Le syndicat est satisfait de « la volonté du gouvernement d’inscrire ce sujet à l’ordre du jour de la prochaine conférence environnementale. » Il affirme vouloir s’engager « pleinement dans ce débat en souhaitant qu’une telle démarche aboutisse à une feuille de route ambitieuse et surtout à des engagements précis de l’État, à l’heure où il est question d’un pacte de responsabilité ! ».
La confédération estime que la réflexion sur le transport doit être menée pour son volet environnemental tout en incluant les problématiques de compétitivité, d’emploi et de développement industriel. La CFE-CGC est persuadée que « la France dispose de nombreux atouts pour être le leader d’une mobilité durable décarbonée » mais pour cela elle appelle de ses vœux des objectifs politiques clairs accompagnés par d’«actions coordonnées ».
« Les enjeux sont importants, les chantiers sont vastes (transports routiers, maritimes, ferroviaires, collectifs…). Seule une réelle Responsabilité sociétale de l’État (RSE) donnera l’impulsion qui lui permettra d’assumer le pilotage d’une politique de transport intégrée, au service de la transition écologique et dotée des leviers permettant de relever les défis » conclue le texte.
Lire le communiqué de la CFE-CGC dans son intégralité (ici)
Le syndicat est satisfait de « la volonté du gouvernement d’inscrire ce sujet à l’ordre du jour de la prochaine conférence environnementale. » Il affirme vouloir s’engager « pleinement dans ce débat en souhaitant qu’une telle démarche aboutisse à une feuille de route ambitieuse et surtout à des engagements précis de l’État, à l’heure où il est question d’un pacte de responsabilité ! ».
La confédération estime que la réflexion sur le transport doit être menée pour son volet environnemental tout en incluant les problématiques de compétitivité, d’emploi et de développement industriel. La CFE-CGC est persuadée que « la France dispose de nombreux atouts pour être le leader d’une mobilité durable décarbonée » mais pour cela elle appelle de ses vœux des objectifs politiques clairs accompagnés par d’«actions coordonnées ».
« Les enjeux sont importants, les chantiers sont vastes (transports routiers, maritimes, ferroviaires, collectifs…). Seule une réelle Responsabilité sociétale de l’État (RSE) donnera l’impulsion qui lui permettra d’assumer le pilotage d’une politique de transport intégrée, au service de la transition écologique et dotée des leviers permettant de relever les défis » conclue le texte.
Lire le communiqué de la CFE-CGC dans son intégralité (ici)