Réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 20% en l’espace de sept ans, c’est l’objectif que s’était fixé le Groupe La Poste en 2013 dans la perspective de la COP 21. Un objectif atteint précocement, dès 2019, au terme d’une démarche de transition écologique volontariste. Avec ce résultat, La Poste française se positionne désormais comme l’une des Postes les plus vertueuses au monde.
Elle est en effet le premier opérateur postal à s’être vu décerner la note A par l’agence de notation CDP pour sa performance carbone. « Parce que l’activité postale tisse des liens entre tous les acteurs de la société́, elle détient un fort pouvoir d’entraînement pour développer des solutions bas carbone », détaille Philippe Wahl, président directeur général du Groupe. « Le succès ne se résume pas à être le mieux disant mais dépend de notre capacité à entraîner la société tout entière ».
Limiter l’impact environnemental de sa flotte
En premier lieu, l’opérateur postal s’est attaqué depuis 2004 au problème des émissions de gaz à effet de serre de la flotte de son activité courrier. Composée de 60 000 véhicules motorisés, celle-ci parcourt chaque année 600 millions de kilomètres – soit 50 fois le tour du monde chaque jour. Équipés de moteurs à combustion, ceux-ci pesaient jusque-là particulièrement sur le bilan carbone du groupe.
Afin de pallier cette situation et de réduire l’empreinte environnementale de ses véhicules, La Poste s’est dotée en l’espace d’à peine dix ans d’un des parcs de véhicules électriques les plus importants au monde. Avec 8 000 voitures électriques, ainsi que 1 300 quads électriques, 6 300 véhicules électriques à trois roues et 23 000 vélos à assistance électrique, la flotte du groupe s’est également ouverte à de nouveaux modes de livraison à faible émission.
Ces outils sont destinés à couvrir le premier et le dernier kilomètre dans les centres villes, souvent congestionnés et pollués. L’effort lié à l’objectif de neutralité carbone des livraisons s’est conjugué avec l’évolution de la consommation et la forte hausse de distribution de colis liée à la croissance du e-commerce.
Compenser ses émissions de carbone
L’objectif du groupe La Poste visait la neutralité carbone de 100% de ses livraisons de courriers, de colis et de ses services numériques. A cette fin, l’entreprise s’est également engagée dans un programme de compensation intégrale de ses émissions de CO2. Les crédits ainsi obtenus par le groupe contribuent au financement de projets de gestion forestière en France et de projets au Kenya, en Inde ou encore au Pérou.
Enfin, toujours dans l’optique de limiter son impact environnemental, le Groupe a également décidé de « mettre un point d’honneur à favoriser l’économie circulaire ». Un engagement important pour l’entreprise française, qui a lancé sa propre solution dédiée au tri et au recyclage des déchets de bureau, Recygo. Cette initiative est au cœur du champ d’action de La Poste, qui reste le premier logisticien du papier français en distribuant plusieurs millions de lettres chaque jour. Via un partenariat avec les entreprises, les facteurs collectent les déchets de bureau lors de leur passage. Cette collecte est acheminée vers Nouvelle Attitude, une filiale dédiée au recyclage.
À travers Recygo, le Groupe La Poste propose une initiative écologique, mais également solidaire, puisque Nouvelle Attitude est aussi une entreprise d’insertion professionnelle.
Elle est en effet le premier opérateur postal à s’être vu décerner la note A par l’agence de notation CDP pour sa performance carbone. « Parce que l’activité postale tisse des liens entre tous les acteurs de la société́, elle détient un fort pouvoir d’entraînement pour développer des solutions bas carbone », détaille Philippe Wahl, président directeur général du Groupe. « Le succès ne se résume pas à être le mieux disant mais dépend de notre capacité à entraîner la société tout entière ».
Limiter l’impact environnemental de sa flotte
En premier lieu, l’opérateur postal s’est attaqué depuis 2004 au problème des émissions de gaz à effet de serre de la flotte de son activité courrier. Composée de 60 000 véhicules motorisés, celle-ci parcourt chaque année 600 millions de kilomètres – soit 50 fois le tour du monde chaque jour. Équipés de moteurs à combustion, ceux-ci pesaient jusque-là particulièrement sur le bilan carbone du groupe.
Afin de pallier cette situation et de réduire l’empreinte environnementale de ses véhicules, La Poste s’est dotée en l’espace d’à peine dix ans d’un des parcs de véhicules électriques les plus importants au monde. Avec 8 000 voitures électriques, ainsi que 1 300 quads électriques, 6 300 véhicules électriques à trois roues et 23 000 vélos à assistance électrique, la flotte du groupe s’est également ouverte à de nouveaux modes de livraison à faible émission.
Ces outils sont destinés à couvrir le premier et le dernier kilomètre dans les centres villes, souvent congestionnés et pollués. L’effort lié à l’objectif de neutralité carbone des livraisons s’est conjugué avec l’évolution de la consommation et la forte hausse de distribution de colis liée à la croissance du e-commerce.
Compenser ses émissions de carbone
L’objectif du groupe La Poste visait la neutralité carbone de 100% de ses livraisons de courriers, de colis et de ses services numériques. A cette fin, l’entreprise s’est également engagée dans un programme de compensation intégrale de ses émissions de CO2. Les crédits ainsi obtenus par le groupe contribuent au financement de projets de gestion forestière en France et de projets au Kenya, en Inde ou encore au Pérou.
Enfin, toujours dans l’optique de limiter son impact environnemental, le Groupe a également décidé de « mettre un point d’honneur à favoriser l’économie circulaire ». Un engagement important pour l’entreprise française, qui a lancé sa propre solution dédiée au tri et au recyclage des déchets de bureau, Recygo. Cette initiative est au cœur du champ d’action de La Poste, qui reste le premier logisticien du papier français en distribuant plusieurs millions de lettres chaque jour. Via un partenariat avec les entreprises, les facteurs collectent les déchets de bureau lors de leur passage. Cette collecte est acheminée vers Nouvelle Attitude, une filiale dédiée au recyclage.
À travers Recygo, le Groupe La Poste propose une initiative écologique, mais également solidaire, puisque Nouvelle Attitude est aussi une entreprise d’insertion professionnelle.
Transition énergétique
Enfin, La Poste s’est attaquée au problème de sa transition énergétique. En interne, l’entreprise incite ses collaborateurs à réduire leur consommation annuelle d’énergie. C’est le principe-même de son Système de Management de l’Énergie (SME), mis en œuvre dans 325 sites du Réseau, de la Branche services Courrier colis et de la Banque Postale. Une démarche incitative qui se fait à tous les échelons de l’entreprise : une campagne de communication a été mise en place depuis janvier 2019 à destination de l’ensemble des postiers. Il s’agit de concrétiser des prises de position sur la transition énergétique en sensibilisant le plus possible l’ensemble des collaborateurs du groupe aux enjeux climatiques et en leur donnant les moyens d’agir pour maîtriser la consommation énergétique globale de l’ensemble du groupe.
La maîtrise de la consommation énergétique de La Poste passe par le recours aux énergies renouvelables dans sa consommation quotidienne et sur la production d’électricité photovoltaïque. Ainsi, depuis 2016, l’ensemble des infrastructures du Groupe La Poste s’approvisionnent en électricité d’origine renouvelable. C’est le cas de l’ensemble des 11 000 immeubles du Groupe, représentant plus de 6 millions de mètres carrés de superficie. De plus, La Poste produit chaque année 6 GWh d’électricité grâce à 48 000 m² de panneaux photovoltaïques installés sur 46 sites industriels du Groupe.
Animé par le souci de montrer l’exemple en matière de transition environnementale, le Groupe La Poste a mis en œuvre un plan de transition écologique qui la positionne aujourd’hui parmi les acteurs postaux les plus en pointe sur le sujet. Une réussite que l’on espère inspirante pour d’autres secteurs d’activités.
Enfin, La Poste s’est attaquée au problème de sa transition énergétique. En interne, l’entreprise incite ses collaborateurs à réduire leur consommation annuelle d’énergie. C’est le principe-même de son Système de Management de l’Énergie (SME), mis en œuvre dans 325 sites du Réseau, de la Branche services Courrier colis et de la Banque Postale. Une démarche incitative qui se fait à tous les échelons de l’entreprise : une campagne de communication a été mise en place depuis janvier 2019 à destination de l’ensemble des postiers. Il s’agit de concrétiser des prises de position sur la transition énergétique en sensibilisant le plus possible l’ensemble des collaborateurs du groupe aux enjeux climatiques et en leur donnant les moyens d’agir pour maîtriser la consommation énergétique globale de l’ensemble du groupe.
La maîtrise de la consommation énergétique de La Poste passe par le recours aux énergies renouvelables dans sa consommation quotidienne et sur la production d’électricité photovoltaïque. Ainsi, depuis 2016, l’ensemble des infrastructures du Groupe La Poste s’approvisionnent en électricité d’origine renouvelable. C’est le cas de l’ensemble des 11 000 immeubles du Groupe, représentant plus de 6 millions de mètres carrés de superficie. De plus, La Poste produit chaque année 6 GWh d’électricité grâce à 48 000 m² de panneaux photovoltaïques installés sur 46 sites industriels du Groupe.
Animé par le souci de montrer l’exemple en matière de transition environnementale, le Groupe La Poste a mis en œuvre un plan de transition écologique qui la positionne aujourd’hui parmi les acteurs postaux les plus en pointe sur le sujet. Une réussite que l’on espère inspirante pour d’autres secteurs d’activités.