En moins d’une demi-heure le résultat tombe. Le dépistage du Covid-19 par tests antigénique est le dernier recours d’un secteur aérien sonné par des longs mois de pandémie. « Ces dispositifs de dépistage rapide du Covid-19 (quinze à trente minutes) devraient être déployés d’ici à la fin du mois dans les aéroports français de Roissy, Orly et Nice. Réalisés à partir de prélèvements nasopharyngés, ils seront proposés aux voyageurs « au départ vers des destinations comme les Etats-Unis ou l’Italie », expliquait le ministre délégué aux transports, Jean-Baptiste Djebbari, le 16 octobre sur CNews. Seront aussi testés les passagers « à l’arrivée des pays rouges », les régions les plus frappées par le virus. Une excellente nouvelle pour les acteurs du tourisme qui, le 14 octobre, réclamaient dans un communiqué « la mise en place urgente des tests antigéniques » dans les aéroports » lit-on dans Le Monde .
C’est la solution retenue par tous les acteurs du secteur pour que reprenne les vols sans risquer de disperser aux quatre coins du globe des porteurs du virus. L’idée selon les représentants des aéroports est de remplacer les quarantaines, trop contraignantes pour les voyageurs, par ces tests. A l’approche de Noël, les compagnies espèrent que le trafic européen reprendra contrairement à ce qui s’est passé durant l’été. Mais pour cela, il faut que la décision d’installer les tests et remettre en question les quarantaines soit assumée par les autorités sanitaires et politiques.
« Malgré les annonces de M. Djebbari, rien n’est pour l’heure véritablement arrêté. La direction de Groupe ADP, gestionnaire de Roissy et d’Orly, était encore, jeudi 22 octobre, en discussion avec les représentants de l’agence régionale de santé (ARS), qui tarde à accepter la mise en place des tests antigéniques ou PCR dans les aéroports. Pour preuve : malgré un contrat avec un laboratoire, ADP a dû attendreplusieurs semaines les autorisations administratives de l’ARS pour pratiquer des PCR sur ses sites. Un feu vert finalement obtenu, vendredi 23 octobre » appuie le quotidien. Mais le délai des fêtes de fin d’année risque d’être difficile à atteindre car pour que les tests soient reconnus, il va falloir multiplier les accords bilatéraux avec les destinations. La route risque encore d’être longue.
C’est la solution retenue par tous les acteurs du secteur pour que reprenne les vols sans risquer de disperser aux quatre coins du globe des porteurs du virus. L’idée selon les représentants des aéroports est de remplacer les quarantaines, trop contraignantes pour les voyageurs, par ces tests. A l’approche de Noël, les compagnies espèrent que le trafic européen reprendra contrairement à ce qui s’est passé durant l’été. Mais pour cela, il faut que la décision d’installer les tests et remettre en question les quarantaines soit assumée par les autorités sanitaires et politiques.
« Malgré les annonces de M. Djebbari, rien n’est pour l’heure véritablement arrêté. La direction de Groupe ADP, gestionnaire de Roissy et d’Orly, était encore, jeudi 22 octobre, en discussion avec les représentants de l’agence régionale de santé (ARS), qui tarde à accepter la mise en place des tests antigéniques ou PCR dans les aéroports. Pour preuve : malgré un contrat avec un laboratoire, ADP a dû attendreplusieurs semaines les autorisations administratives de l’ARS pour pratiquer des PCR sur ses sites. Un feu vert finalement obtenu, vendredi 23 octobre » appuie le quotidien. Mais le délai des fêtes de fin d’année risque d’être difficile à atteindre car pour que les tests soient reconnus, il va falloir multiplier les accords bilatéraux avec les destinations. La route risque encore d’être longue.