Du gaz naturel mais pas uniquement. C’est une déclaration un peu cousue de fils blancs que TotalEnergies vient d’effectuer concernant ses activités en Algérie. « À l'occasion de la rencontre ce jour à Alger entre Patrick Pouyanné, Président-directeur général de TotalEnergies, et Toufik Hakkar, Président-directeur général de Sonatrach, une série d'accords ont été signés pour renforcer la coopération des deux entreprises dans la production de gaz naturel, dans la livraison de gaz naturel liquéfié (GNL) à l'Europe, et dans le développement en Algérie des énergies renouvelables », commence le communiqué.
Depuis la guerre en Ukraine, l’enjeu stratégique que représente le gaz est de taille, et c’est dans ce contexte là qu’il fallait analyser les relations avec l’Algérie, tant par la France que TotalEnergies. « Par un premier accord soumis à l'approbation des autorités algériennes, Sonatrach et TotalEnergies ont décidé de convertir les contrats de production des champs gaziers de Tin Fouyé Tabankort II (TFTII) et de Tin Fouyé Tabankort Sud (TFT sud) situés dans le Sud de l'Algérie (Sonatrach 51 %, TotalEnergies 49 %) dans le cadre de la nouvelle loi pétrolière algérienne promulguée le 11 décembre 2019. Il s'agit des premières conversions de contrats en Algérie sous le régime de la nouvelle loi pétrolière. Dans ce cadre, Sonatrach et TotalEnergies poursuivront le programme d'investissements déjà engagé pour accroître la production de gaz des champs de TFTII et TFT sud, comprenant l'extension des installations existantes et la mise en production de nouveaux puits. Il est prévu que la production combinée de ces deux champs dépasse 100 000 barils équivalent pétrole par jour d'ici 2026, contre environ 60 000 en 2022, participant ainsi à l'accroissement du potentiel d'exportation de gaz algérien à destination du marché européen », résume le texte.
Un deuxième accord arrête à 2 millions de tonnes par an de GNL depuis l’Algérie pour le site de Fos-Cavaou dans les Bouches du Rhône. Tandis que côté renouvelable il s’agit en fait d’un accord qui vise à étudier les opportunités.
Depuis la guerre en Ukraine, l’enjeu stratégique que représente le gaz est de taille, et c’est dans ce contexte là qu’il fallait analyser les relations avec l’Algérie, tant par la France que TotalEnergies. « Par un premier accord soumis à l'approbation des autorités algériennes, Sonatrach et TotalEnergies ont décidé de convertir les contrats de production des champs gaziers de Tin Fouyé Tabankort II (TFTII) et de Tin Fouyé Tabankort Sud (TFT sud) situés dans le Sud de l'Algérie (Sonatrach 51 %, TotalEnergies 49 %) dans le cadre de la nouvelle loi pétrolière algérienne promulguée le 11 décembre 2019. Il s'agit des premières conversions de contrats en Algérie sous le régime de la nouvelle loi pétrolière. Dans ce cadre, Sonatrach et TotalEnergies poursuivront le programme d'investissements déjà engagé pour accroître la production de gaz des champs de TFTII et TFT sud, comprenant l'extension des installations existantes et la mise en production de nouveaux puits. Il est prévu que la production combinée de ces deux champs dépasse 100 000 barils équivalent pétrole par jour d'ici 2026, contre environ 60 000 en 2022, participant ainsi à l'accroissement du potentiel d'exportation de gaz algérien à destination du marché européen », résume le texte.
Un deuxième accord arrête à 2 millions de tonnes par an de GNL depuis l’Algérie pour le site de Fos-Cavaou dans les Bouches du Rhône. Tandis que côté renouvelable il s’agit en fait d’un accord qui vise à étudier les opportunités.