Air Liquide teste un projet pilote dans la gare de l'Avenue Foch à Paris qui repose sur une technologie d'ionisation positive, en collaboration avec des PME et des start-ups.
Dans un communiqué, l'entreprise explique que cette technique de purification de l'air "consiste à charger électriquement les particules fines de l'air, afin de pouvoir les capter sous forme d'agrégats facilement récupérables."
Ainsi, pendant trois mois, les six purificateurs installés brasseront ainsi 50 000 m3/heure d'air afin de réduire la concentration des particules fines. La solution est facilement installable et à faible consommation électrique.
Afin d'évaluer précisément l'impact du projet pilote, les données de la qualité de l'air dans la gare seront collectées et analysées à l'aide de capteurs installés le long des quais par Air Liquide et SNCF pour la durée de l'expérimentation. Ces informations seront complétées par les données issues d'une station de mesure de la qualité de l'air (TEOM) installée par Airparif dans la gare de l'Avenue Foch depuis avril 2018.
Ainsi, Airparif, Air Liquide et la SNCF partageront conjointement les données issues de leurs capteurs respectifs afin d'enrichir le suivi de la qualité de l'air dans l'ensemble de la gare.
Dans les grandes agglomérations partout dans le monde, la qualité de l'air est un enjeu majeur : de nombreux citoyens sont exposés à des niveaux de pollution qui dépassent les recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé. Face à ce défi, Air Liquide développe et expérimente des projets, dans une démarche d'innovation ouverte, pour purifier l'air dans des espaces urbains pollués, tels que les parkings ou les gares.
Dans un communiqué, l'entreprise explique que cette technique de purification de l'air "consiste à charger électriquement les particules fines de l'air, afin de pouvoir les capter sous forme d'agrégats facilement récupérables."
Ainsi, pendant trois mois, les six purificateurs installés brasseront ainsi 50 000 m3/heure d'air afin de réduire la concentration des particules fines. La solution est facilement installable et à faible consommation électrique.
Afin d'évaluer précisément l'impact du projet pilote, les données de la qualité de l'air dans la gare seront collectées et analysées à l'aide de capteurs installés le long des quais par Air Liquide et SNCF pour la durée de l'expérimentation. Ces informations seront complétées par les données issues d'une station de mesure de la qualité de l'air (TEOM) installée par Airparif dans la gare de l'Avenue Foch depuis avril 2018.
Ainsi, Airparif, Air Liquide et la SNCF partageront conjointement les données issues de leurs capteurs respectifs afin d'enrichir le suivi de la qualité de l'air dans l'ensemble de la gare.
Dans les grandes agglomérations partout dans le monde, la qualité de l'air est un enjeu majeur : de nombreux citoyens sont exposés à des niveaux de pollution qui dépassent les recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé. Face à ce défi, Air Liquide développe et expérimente des projets, dans une démarche d'innovation ouverte, pour purifier l'air dans des espaces urbains pollués, tels que les parkings ou les gares.