Le télétravail est surtout fantasmé par ceux qui ne le pratiquent pas. Sorte de demi travail pour beaucoup, il est de plus en plus pratiqué dans les entreprises pour permettre aux salariés d’avoir plus de flexibilité tout en leur demandant de remplir leurs objectifs professionnels. Alors qu’on estime qu’en 2016, moins d’une personne salariée de bureau pratiquait le télétravail, un rapport a été rendu à ce sujet en juin au ministère du Travail.
Ce qu’il faut savoir déjà à propos du télétravail des salariés de bureau c’est qu’il a normalement lieu dans le cadre d’un accord entre le travailleur et son manageur. C’est donc dans un contexte normalement apaisé qu’il a lieu. « Résultat : "96 % des salariés qui le pratiquent s’estiment plus épanouis, et 96 % des managers trouvent que les performances des salariés concernés se sont maintenues ou ont augmenté" » explique un article publié sur un site lié au journal Les Echos . Parmi les arguments en faveur du télétravail, les trajets reviennent en permanence. En effet, en moyenne les trajets quotidiens sont d’un peu moins d’une heure, ramenés à la semaine, au mois ou à l’année, ces heures perdues pour la vie personnelle ou professionnelle comptent.
« Il y a toujours un risque de surinvestissement des télétravailleurs : certains travaillent plus pour mériter l’accès au télétravail (…) ce qui peut entraîner des difficultés à séparer vie personnelle et vie professionnelle, mais les entreprises ont tendance à encadrer les choses en définissant des plages horaires de télétravail » nuance Catherine Boisseau Marsault, citée par l’article et responsable au sein de l’Observatoire de l’équilibre des temps et de la parentalité en entreprise. En fait, les limites d’un télétravail complet sautent aux yeux : disparition des relations humaines, communication plus difficile etc. Mais dans la plupart des cas les salariés qui le pratique ne le font que de manière partielle, généralement une ou deux journées par semaine.
Ce qu’il faut savoir déjà à propos du télétravail des salariés de bureau c’est qu’il a normalement lieu dans le cadre d’un accord entre le travailleur et son manageur. C’est donc dans un contexte normalement apaisé qu’il a lieu. « Résultat : "96 % des salariés qui le pratiquent s’estiment plus épanouis, et 96 % des managers trouvent que les performances des salariés concernés se sont maintenues ou ont augmenté" » explique un article publié sur un site lié au journal Les Echos . Parmi les arguments en faveur du télétravail, les trajets reviennent en permanence. En effet, en moyenne les trajets quotidiens sont d’un peu moins d’une heure, ramenés à la semaine, au mois ou à l’année, ces heures perdues pour la vie personnelle ou professionnelle comptent.
« Il y a toujours un risque de surinvestissement des télétravailleurs : certains travaillent plus pour mériter l’accès au télétravail (…) ce qui peut entraîner des difficultés à séparer vie personnelle et vie professionnelle, mais les entreprises ont tendance à encadrer les choses en définissant des plages horaires de télétravail » nuance Catherine Boisseau Marsault, citée par l’article et responsable au sein de l’Observatoire de l’équilibre des temps et de la parentalité en entreprise. En fait, les limites d’un télétravail complet sautent aux yeux : disparition des relations humaines, communication plus difficile etc. Mais dans la plupart des cas les salariés qui le pratique ne le font que de manière partielle, généralement une ou deux journées par semaine.