« Le temps médiatique s'est modifié.. On s'engage désormais "contre" quelque chose. On n'arrive plus à mobiliser "pour" (…). Une émeute, par nature, cela fait de l’audience parce que cela crée du suspens. On ne sait pas ce qui va se passer. Il y a aujourd’hui une prime à la violence parce qu’elle est télévisuelle. C’est le primat du cri sur le raisonnement, de la souffrance sur la raison… »
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