Siemens, le premier producteur d’électricité d’Europe, est connu pour ses engagements en faveur de la responsabilité et du développement durable. Paradoxalement, c’est cet réputation d’acteur vertueux du secteur qui explique que des associations et militants de défense de l’environnement apostrophent le groupe.
Présent au capital de la société allemande Voith Hydro à hauteur de 35%, Siemens est donc indirectement un potentiel candidat à l’appel d’offre que le gouvernement brésilien s’apprête à lancer pour un projet titanesque de barrage hydraulique.
Pour des associations, militants des droits des indigènes et de défense se l’environnement, ces projets de barrages sont problématiques à causes de nombreuses conséquences sur les modes de vie des populations locales et de la diversité. « Siemens et Voith Hydro sont impliqués dans les quatre derniers barrages construits sur l'Amazone : Tele Pires, Santo Antonio, Jirau et le très controversé Belo Monte, pour lesquels ces entreprises ont fourni des composants clé. Chacun de ces quatre projets constitue une violation des droits constitutionnels des peuples autochtones qui vivent sur les zones concernées » dénonce par communiqué l’ONG Greenpeace.
Présent au capital de la société allemande Voith Hydro à hauteur de 35%, Siemens est donc indirectement un potentiel candidat à l’appel d’offre que le gouvernement brésilien s’apprête à lancer pour un projet titanesque de barrage hydraulique.
Pour des associations, militants des droits des indigènes et de défense se l’environnement, ces projets de barrages sont problématiques à causes de nombreuses conséquences sur les modes de vie des populations locales et de la diversité. « Siemens et Voith Hydro sont impliqués dans les quatre derniers barrages construits sur l'Amazone : Tele Pires, Santo Antonio, Jirau et le très controversé Belo Monte, pour lesquels ces entreprises ont fourni des composants clé. Chacun de ces quatre projets constitue une violation des droits constitutionnels des peuples autochtones qui vivent sur les zones concernées » dénonce par communiqué l’ONG Greenpeace.