Le quotidien national Le Parisien/Aujourd’hui en France, avance la possibilité d’une hausse du prix de l’électricité d’environ trente euros pour l’automne. D’après le journal, cette hausse concernerait 92% des ménages français puisqu’il s’agit des abonnés aux tarifs régulés. Les clients professionnels de leur coté, toujours d’après le quotidien, pourraient voir leur facture augmenter de quarante-cinq euros.
Dans les colonnes du journal, la rédaction explique que « le projet d’arrêté tarifaire rectificatif a été déposé ce jeudi soir pour examen auprès du Conseil supérieur de l’énergie (CSE). Celui-ci devrait rendre un avis (consultatif) dans les semaines à venir. » Ainsi, la publication de cet arrêté serait même prévue pour la fin du mois de juillet.
Dans les colonnes du journal, la rédaction explique que « le projet d’arrêté tarifaire rectificatif a été déposé ce jeudi soir pour examen auprès du Conseil supérieur de l’énergie (CSE). Celui-ci devrait rendre un avis (consultatif) dans les semaines à venir. » Ainsi, la publication de cet arrêté serait même prévue pour la fin du mois de juillet.
« Faux scoops »
Très connectée, la ministre de l’Environnement et de l’énergie n’a pas publié de communiqué et a préféré répondre directement sur son compte Twitter. À quatre reprises elle a utilisé les 140 caractères du réseau social pour infirmer l’information.
« Je déments catégoriquement l'information du Parisien selon laquelle il y aurait une augmentation du tarif de l'électricité. Au contraire » a-t-elle d’abord écrit. Dans le deuxième message elle affirme que l’augmentation de 5% initialement prévue par le gouvernement Ayrault a été « annulée » et que cette annulation sera « fermement maintenue ». Elle explique ensuite que les rattrapages de paiements ordonnés par le Conseil d’Etat font encore l’objet de négociations entre le gouvernement et EDF et qu’à ce titre, « aucune décision n’est prise ».
Après avoir défendu point par point sa position, la ministre a tweeté une dernière fois pour critiquer la rédaction du Parisien. « Ce serait bien que ceux qui écrivent des articles se renseignent avant de faire de faux scoop pour faire parler d'eux » a-t-elle ajouté.
Au-delà des interrogations sur les tarifs de l’électricité, les échanges entre la ministre et le quotidien démontrent, une fois de plus, que les règles de la communication politique ont changé. Plus efficace, la réaction Tweeter permet aux membres du gouvernement de répondre très rapidement et de manière ciblée et donc d'éviter l'effet boule de neige.
« Je déments catégoriquement l'information du Parisien selon laquelle il y aurait une augmentation du tarif de l'électricité. Au contraire » a-t-elle d’abord écrit. Dans le deuxième message elle affirme que l’augmentation de 5% initialement prévue par le gouvernement Ayrault a été « annulée » et que cette annulation sera « fermement maintenue ». Elle explique ensuite que les rattrapages de paiements ordonnés par le Conseil d’Etat font encore l’objet de négociations entre le gouvernement et EDF et qu’à ce titre, « aucune décision n’est prise ».
Après avoir défendu point par point sa position, la ministre a tweeté une dernière fois pour critiquer la rédaction du Parisien. « Ce serait bien que ceux qui écrivent des articles se renseignent avant de faire de faux scoop pour faire parler d'eux » a-t-elle ajouté.
Au-delà des interrogations sur les tarifs de l’électricité, les échanges entre la ministre et le quotidien démontrent, une fois de plus, que les règles de la communication politique ont changé. Plus efficace, la réaction Tweeter permet aux membres du gouvernement de répondre très rapidement et de manière ciblée et donc d'éviter l'effet boule de neige.