Les scouts s'impliquent plus dans la société
Dès le plus jeune âge, les louveteaux (8-11 ans) et jeannettes découvrent les valeurs fondamentales de solidarité. Ensuite, les scouts et guides (12-17 ans) approfondissent cet apprentissage à travers des projets collectifs et autonomes, leur inculquant un sens des responsabilités. Les routiers et guides aînées (17-25 ans) poursuivent cet engagement, notamment dans le domaine associatif. L’enquête de l'IFOP révèle ainsi que 87 % des anciens scouts s'impliquent bénévolement dans des associations, contre seulement 33 % du grand public.
Cette implication associative se traduit par un temps consacré significativement plus élevé, avec 70 % des anciens scouts investissant plusieurs heures par semaine ou par mois, contre seulement 21 % des Français. En plus de leur engagement bénévole, ils se montrent aussi plus généreux sur le plan financier, avec des dons annuels moyens de 901 euros, soit trois fois plus que le reste de la population. Ce sens civique se manifeste également lors des élections : 97 % des anciens scouts âgés de 25 ans et plus ont voté aux présidentielles de 2022, un taux bien supérieur aux 85 % du reste de la population. L’étude montre aussi une conscience environnementale accrue chez les anciens scouts, avec 82 % d’entre eux se déclarant préoccupés par le réchauffement climatique, contre 77 % des Français.
Cette implication associative se traduit par un temps consacré significativement plus élevé, avec 70 % des anciens scouts investissant plusieurs heures par semaine ou par mois, contre seulement 21 % des Français. En plus de leur engagement bénévole, ils se montrent aussi plus généreux sur le plan financier, avec des dons annuels moyens de 901 euros, soit trois fois plus que le reste de la population. Ce sens civique se manifeste également lors des élections : 97 % des anciens scouts âgés de 25 ans et plus ont voté aux présidentielles de 2022, un taux bien supérieur aux 85 % du reste de la population. L’étude montre aussi une conscience environnementale accrue chez les anciens scouts, avec 82 % d’entre eux se déclarant préoccupés par le réchauffement climatique, contre 77 % des Français.
Un atout pour le bien-être et la vie professionnelle
Les anciens scouts témoignent d'un bien-être supérieur à celui du reste de la population. Ils évaluent leur bien-être à 7,9/10, contre 6,3/10 pour le grand public. Cette résilience s'explique par leur mode de vie actif, en lien avec la nature, ainsi que par des réseaux sociaux solides. 92 % d'entre eux maintiennent des relations amicales issues de leur expérience scoute, favorisant ainsi un sentiment d'appartenance et de soutien tout au long de leur vie.
Sur le plan professionnel, les compétences acquises pendant le scoutisme sont particulièrement recherchées par les recruteurs. 99 % des anciens scouts déclarent que le scoutisme leur a inculqué un sens des responsabilités, tandis que 98 % mettent en avant l’autonomie qu’ils y ont développée. Le travail en équipe est une autre qualité particulièrement développée par les anciens scouts. Des atouts et des compétences qui sont très prisées et essentielles par les entreprises.
Les recruteurs valorisent aussi la résilience et l’esprit constructif dont font preuve les anciens scouts : 97 % affirment avoir appris à positiver face aux défis. En outre, 12 % d’entre eux s’orientent vers des carrières dans l’économie sociale et solidaire, un domaine en plein essor dans les entreprises soucieuses de leur responsabilité sociétale (RSE). Des chiffres qui témoignent, et c'est le titre de l'étude de l'IFOP, de l'utilité publique du scoutisme, mais aussi du fait que ce dernier est un véritable levier pour la réussite professionnelle et personnelle.
Sur le plan professionnel, les compétences acquises pendant le scoutisme sont particulièrement recherchées par les recruteurs. 99 % des anciens scouts déclarent que le scoutisme leur a inculqué un sens des responsabilités, tandis que 98 % mettent en avant l’autonomie qu’ils y ont développée. Le travail en équipe est une autre qualité particulièrement développée par les anciens scouts. Des atouts et des compétences qui sont très prisées et essentielles par les entreprises.
Les recruteurs valorisent aussi la résilience et l’esprit constructif dont font preuve les anciens scouts : 97 % affirment avoir appris à positiver face aux défis. En outre, 12 % d’entre eux s’orientent vers des carrières dans l’économie sociale et solidaire, un domaine en plein essor dans les entreprises soucieuses de leur responsabilité sociétale (RSE). Des chiffres qui témoignent, et c'est le titre de l'étude de l'IFOP, de l'utilité publique du scoutisme, mais aussi du fait que ce dernier est un véritable levier pour la réussite professionnelle et personnelle.
Contacter la rédaction
