La décision n’est pas sans conséquences. Dans l’urgence, décider de traiter 300 personnes avec un médicament dont on ne sait pas encore s’il est véritablement efficace est ardu. C’est pourtant ce que vient d’annoncer Sanofi et son partenaire américain, Regeneraon. En cette période de crise, chaque décision a des conséquences en vie ou mort. Qui sera traité ? Avec quel traitement ? Peut-on décemment donner des placebos à des personnes malades dans un état grave ? Toutes ces questions sont de la responsabilité des autorités sanitaires et des laboratoires qui développent des traitements, dont les conséquences des errements sont dramatiques.
Pour autant, chaque annonce d’une piste est reçue comme un espoir immense. En témoigne la médiatisation des annonces de Sanofi. « Sanofi annoncé ce lundi 30 mars 2020 qu’un premier patient avait été traité hors des États-Unis dans le cadre du programme mondial d’essais cliniques du Kevzara (ou sarilumab) pour des malades présentant une forme sévère de Covid-19. Le programme mondial d’essais cliniques utilisant ce médicament développé conjointement par Sanofi et la firme américaine de biotechnologies Regeneron vient d’être lancé en Italie, en Espagne, en Allemagne, en France, au Canada, en Russie et aux États-Unis, précise Sanofi dans un communiqué. Sanofi dirige les essais en dehors des États-Unis et Regeneron ceux menés aux États-Unis » rapporte Ouest France.
Les 300 personnes atteintes qui vont être concernées par le test seront sélectionnées en deux temps. Dans plusieurs pays, les équipes médicales choisiront des patients infectés d’une forme sévère ou grave. « Ces essais cliniques permettront de recueillir des données importantes et de savoir si Kevzara améliore le pronostic des patients qui présentent des complications potentiellement fatales d’infections Covid-19 en remédiant à la réponse immunitaire hyperinflammatoire observée dans les poumons colonisés par le virus, a déclaré le docteur John Reed, responsable Monde de la Recherche et Développement de Sanofi » appuie le quotidien régional.
Pour autant, chaque annonce d’une piste est reçue comme un espoir immense. En témoigne la médiatisation des annonces de Sanofi. « Sanofi annoncé ce lundi 30 mars 2020 qu’un premier patient avait été traité hors des États-Unis dans le cadre du programme mondial d’essais cliniques du Kevzara (ou sarilumab) pour des malades présentant une forme sévère de Covid-19. Le programme mondial d’essais cliniques utilisant ce médicament développé conjointement par Sanofi et la firme américaine de biotechnologies Regeneron vient d’être lancé en Italie, en Espagne, en Allemagne, en France, au Canada, en Russie et aux États-Unis, précise Sanofi dans un communiqué. Sanofi dirige les essais en dehors des États-Unis et Regeneron ceux menés aux États-Unis » rapporte Ouest France.
Les 300 personnes atteintes qui vont être concernées par le test seront sélectionnées en deux temps. Dans plusieurs pays, les équipes médicales choisiront des patients infectés d’une forme sévère ou grave. « Ces essais cliniques permettront de recueillir des données importantes et de savoir si Kevzara améliore le pronostic des patients qui présentent des complications potentiellement fatales d’infections Covid-19 en remédiant à la réponse immunitaire hyperinflammatoire observée dans les poumons colonisés par le virus, a déclaré le docteur John Reed, responsable Monde de la Recherche et Développement de Sanofi » appuie le quotidien régional.